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Les NIOUZES de SANTA CRUZ

Les NIOUZES de SANTA CRUZ

Informations locales Ste Croix Volvestre et Ariège


Les Niouzes du marché du mercredi !

Publié le 13 Octobre 2023, 10:36am

Catégories : #Ariège, #Couserans, #Ste Croix et Vous, #Le Marché, #Animations

 

Quilles sur le marché

Il y a aujourd’hui 40 ans que le foyer rural existe.. Laurette Fauroux membre à l’origine a lancé les quilles au maillet discipline que faisait son apparition lors de concours au village et alentours.

Depuis 15 ans sur le marché du mercredi une initiation quilles se déroule dans le bon esprit et on y retrouve des enfants depuis qu’il n’y a plus d’’école le mercredi.porté par Eugène et Mémène Carrère au début puis par Nicole Couzinet , maintenant l’animation se déroule avec Berthe Lamarre et Pierre Fauroux. Si vous voulez découvrir ce jeu venez tous les mercredi à partir de 10h, un bon accueil vous sera réservé.

Des échecs sur le marché.

Chaque mercredi de l’été, André vous propose de venir faire des parties d’échecs avec lui. Il est présent le mercredi matin, de 10h à 13h. Alors, si vous êtes intéressés venez le rejoindre et échanger votre passion des échecs.De plus, vous pouvez aussi retrouver les producteurs locaux fromages, légumes, viandes, pâtes, pains, plats argentins etc.

L'animateur de Radio Couserans est venu sur le marché présenter et dédicacer son ouvrage sur le Couserans. J’ai été très touché par l’accueil de l’association « Le marché de Sainte-Croix » et de Franck Botteau, cheville ouvrière de la diffusion des activités littéraires de la commune.
Dans une atmosphère bon enfant et chaleureuse j’ai eu le bonheur de retrouver des amis perdus de vue depuis la cessation de mes activités. Un grand d’émotion agrémenté par les échanges amicaux.  Ce fut l’occasion de parler de ce que fut le Volvestre au temps de l’abbaye de Fontevraud, des gentilshommes verriers et des terres de défrichements qui furent à ‘origine de la création du village de Lasserre. Lasserre qui s’enrichit des ’habitants de la Saintonge au temps tumultueux des grandes compagnies.
Ou alors…..Je tiens à remercier Franck Botteau, cheville ouvrière des rencontres littéraires, amenant au marché des écrivains locaux qui ont ainsi l’occasion d’échanger avec les habitants.

Ce livre est le résultat de plusieurs décennies de recherches en archives, de conversations avec les anciens bergers et ceux qui ont connu le tout début du XXe siècle.

Témoignages à travers le prisme de ma personnalité

Synthèse de l’histoire du Couserans à partir des travaux des anciens érudits due la fin du XIXe et du début du XXe siècle afin de la confronter avec les travaux récents en archéologie et histoire. Tout un pan du livre est consacré à Saint-Girons dont l’histoire reste encore à écrire. Les multiples incendies de la mairie ayant détruit les archives laissent de nombreuses interrogations persistent. Des pages sont consacrées à l’épidémie de peste

Fidèle aux conceptions de Paul Vidal de la Blache : la géomorphologie explique l’histoire, la géographie humaine. J’ai essayé de montrer que les comportements, les modes de vie les adaptations sont liés à l’environnement.

J’ai voulu parler de mes souvenirs les plus intimes en exprimant ma sensibilité, afin de mettre en exergue l’évolution des mentalités.

Le Couserans est aussi un pays voué à la tradition pastorale et fromagère. J’ai, souhaité, à partir du témoignage d’un ancien berger, revenir sur la vie des estives de la première moitié du XXe siècle.

Il se termine par quelques  récits concernant les passeurs lors de l’Occupation allemande.

 

Ce mercredi, jour de marché et de la fête de la musique, les gendarmes de la brigade de Ste Croix Volvestre sont venus distribués des tracts informatifs et de prévention pour la sécurité des femmes dans l’espace public. La brigade qui était en binôme s’est arrêtée devant chaque stand laissant les informations pour quelles soient,ensuite mise à la disposition du public. Les femmes victimes peuvent aller sur le net masecurite.fr et en cas d’urgence composez le 17 ou le 3919.

 

 

 

Jean-Paul Copetti était en dédicace avec ses deux premiers "polars", "Pour le repos des morts" et "les sanglots des danaïdes", parus tous les deux aux éditions Glyphe.
Jean-Paul Copetti était commandant de Police au 36 quai des orfèvres à Paris. Il a été chef d'un groupe d'enquête à la Brigade Criminelle et durant trente ans il a essayé de résoudre des affaires de meurtre. 
Aujourd'hui à la retraite, il passe ses journées en grande partie à Lasserre où le Volvestre Couserans l'inspire. Sur le marché il a dédicacé quelques livres et s'est fait connaitre de la population. Son septième roman "le retour des dieux créateurs",(aux éditions ECE-D Code 9) devrait paraître en juin prochain.

 

L’association marché de Sainte Croix a tenu son assemblée générale

Rapports financier, moral et d’activité ont rythmé la réunion .

Lors de l’année précédente s’est développée une bonne entente ente le marché et le PNR. L’association a toujours envie de créer un chalet sur la place et a en projet la mise en place d’une petite halle en bois dont le projet a été déposé en mairie pour une extension de la salle des fêtes.

L’association du marché ne souhaite pas la libre concurrence. Les votes se font à la majorité.Le 3ème mercredi est un jour très vivant avec plus d' exposants venant ce jour là attirant de nombreux et nouveaux clients. L’association compte 110 adhérents, elle effectue 52 animations dans l’année et elle édite « la feuille de chou » le journal du marché.Elle fonctionne en collégiale avec 9 personnes actuellement. L’assemblée s’est conclue par le verre de l’amitié.

Comme à chaque veille de Noël, le marché de Sainte-Croix, via l’association, organise le marché en fête. A cette occasion, les commerçants proposaient des produits festifs pour les réveillons de fin d’année, la plupart issus des circuits courts locaux, qu’ils soient alimentaires ou artisanaux.
À la fin du marché, vers midi, un apéro gourmand s’est déroulé en musique 
Cette journée ensoleillée et conviviale a permis de rencontrer de nombreuses personnes et découvrir les artistes et producteurs locaux.
Toutes les personnes intéressées sont les bienvenues à l’assemblée générale qui se déroulera le samedi 28 janvier, à 16 heures, à la salle des associations.
Les dédicaces du troisième mercredi du mois reprendront sur le marché en mars prochain avec Jean Allières et son dernier roman sur Montesquieu Volvestre et Lahitère.

 

 

Jean Allières de Lahitère vient de publier son dernier roman "J’étais heureux" aux éditions spinelle. « Le premier chien rencontré dans la rue te l’aurait dit »

C’est par l’attachement à sa grand-mère que s’éclaire tout le récit de l’auteur. Entre ville et campagne , entre bombardement et moissons , une multitude de personnages relient la tendresse , cette trame de petites nouvelles sur l’enfance et l’adolescence.C’est un partage de souvenirs , d’une rue , d’un quartier de Toulouse, mais aussi combien attachante la vie rurale d’un village gascon aux confins de l’Ariège et de la Haute Garonne.dans l’après guerre des années 50. Quelques clin d’oeil à la poésie viennent colorer les quatre premières lignes de chaque chapitre.

Pour nos enfants, pour nos petits enfants, Théodore Monodt écrit : « Ne mourons pas résignés devant nos ordinateurs . Dans le silence . Dans nos lits. Battons nous. Cherchons le beau , le vrai. Ayons enfin le courage des larmes et révérons la vie ».

Autodidacte, sensible à la musique des mots, amateur de poésie, Jean Allières vit actuellement dans un petit hameau de Montesquieu de ce Volvestre où il est si particulièrement attaché. Retrouvez l'auteur tous les mercredi sur le marché jusqu'à Noël.

 

 

On trouve de tout sur le marché


Ce mercredi matin sur le marché de ste Croix volvestre, le club loisirs et détente prépare halloween. 
Halloween rappelons le a été importée aux USA par des colons français, entre autres. C’est à l’origine la fête de Samhain qui est une célébration celte. Comme toutes les autres fête, elle a été récupérée par l’église catholique qui souhaitait éradiquer toutes les fêtes païennes. A l’origine la Toussaint débutait le 31 au soir. La traduction du mot HALLOWEEN est NUIT DES OMBRES. Sa signification et les rituels sont très intéressant, complètement en lien avec la nature. Samhain reste célébrée dans tout le nord de l’Europe. Pensez aux enfants qui vont passer chez vous ce week-end. On retrouvera loisirs et détente lors du marché de Noël qui se déroulera le dimanche 13 Novembre à la salle des fêtes du village.

Le mercredi 19 octobre, Wolfgang Bendick, ancien navigateur de la marine marchande était en dédicace sur le marché. Il présentait ses deux derniers livres qui ont comme sujet l’eau et l’Ariège. Le premier, "Les voileux des rives de Léran", évoque la construction du lac de Montbel, la "mer ariégeoise" et son petit club de voile. Ce livre détaille la mise en eau du lac qui avec la construction de digues retient l’eau de l’Hers-Vif deux rivière qui coule en pays d’Olmes cettte eau est apportée par une dérivation située en aval du Peyrat, à la limite départementale entre l'Ariège et l'Aude. En 1977 une étude d’impact est proposée et acceptée. C’est en 1982 que les travaux débutent et se termineront en 1984. Pour le béton, une gravière a été ouverte au Peyrat, petite commune alentour.  
Les eaux emmagasinées en hiver et au printemps (fonte des neiges) servent à l'irrigation du Lauragais et de la plaine d'Ariège, ainsi qu'au soutien des débits estivaux et automnaux de l'Hers-Vif et au-delà de l'Ariège et de la Garonne (soit l'irrigation de 28 000 hectares environ) mais cela permet surtout d’alimenter en eau la Garonne et plus particulièrement la centrale de Golfech.
En 1994 on recensait 190 espèces d’oiseaux on en compte moins de 90 aujourd’hui. Le marnage argile des bords de rives qui se dépose au fond du lac enlève leur nourriture ? L’irrigation n’est pas la seule fautive mais plutôt les lâchers d’eau pour permettre le refroidissement de la centrale de Golfech. Ce livre illustré de nombreuses photos et illustrations, fait aussi la part belle aux infrastructures, restaurant, buvette, camping et pour les amateurs de voile le club qui a vu le jour et permet aux amateurs de faire du bateau sur un lieu magique. On trouve le livre « Les voileux des rives de Léran chez surre à Foix, La mousson et la lettre à St Girons et sur certains marchés de l’Ariège. 

Jean Paul Copetti était en dédicace sur le marché de Ste Croix Volvestre
Il proposait trois de ses livres (parus aux éditions Champs Elysées-Deauville)":
"Cauchemar à deux faces", un thriller fantastique composé de deux longues nouvelles, la seconde se déroulant dans le Couserans, où un instituteur muté (pour d'obscures raisons que l'on découvrira à la fin) dans un petit village isolé, va avoir l'idée de créer une boite à livres, sans savoir qu'il va déclencher des événements terrifiants.
"Princes de Belleville", un roman policier dont le héros, Clément Chevalier, est un commandant franc-maçon de la brigade Criminelle de Paris, qui va se trouver face à d'étranges meurtres de SDF sur lesquels on découvre des signes mystérieux.
"La confrérie des douze vigilants" (récemment paru), une autre enquête de Clément Chevalier, cette fois aux prises avec une ancienne confrérie réactionnaire de l'époque de l'affaire Dreyfus que l'on croyait disparue, avec un étrange individu qui a plastiqué la tombe d'Allan Kardec (l'inventeur du spiritisme) au cimetière du Père Lachaise, et, pour couronner le tout, à la mafia serbe de Paris.

Jean Paul Copetti repart à Paris à la fin du mois. Il a apprécié l’accueil sympathique du marché du village où il a pu échanger avec de nombreuses personnes et dédicacer une dizaine de ses livres. Il profite de sa retraite de commandant de police pour continuer, entre autre, à écrire un nouveau roman à paraitre l’an prochain. Mais d’ici là, il reviendra en Ariège, la terre natale de sa grand mère, notamment à l’occasion de la prochaine saison des champignons. L’ancien policier est un fervent adepte des promenades en forêt et des omelettes aux girolles !

 Nathalie Palayret était en dédicace sur le marché
 

 

"Après une (longue) carrière de bibliothécaire à Saint-Nazaire, je suis devenu bibliothérapeute. C’est un métier encore peu connu qui propose d’accompagner les personnes en difficulté ou en questionnement avec pour outils les livres, la poésie et l’écriture (plus d’infos sur mon site : www.nathalie-palayret.com).

S’il m’arrive d’accompagner des personnes désireuses d’écrire leur livre, j’ai aussi une pratique personnelle de l’écriture. Plusieurs de mes poèmes ont fait l'objet d'une publication dans des revues littéraires (La Piscine, Dissonances, Espaces, Revue Méninge...).

Je suis aussi l’autrice de deux ouvrages : “La Sorcière à roulettes”, un album pour enfants illustré par Lucia Toma Marceau (paru aux éditions Laplikili) et "Carnets de voyage" de la Valise à sons” (publié par A vos soins).

Je me suis installée ce printemps à Sainte-Croix dans la maison familiale, comme un retour aux sources (sans nostalgie) dans le village qui a vu naître ma mère." 

 

Il y a quelques semaines, j'ai appris que l'association du marché de Ste Croix Volvestre a refusé la venue d'une vendeuse de pizza. L'argument avancé : elle ferait de la concurrence à la vendeuse de crêpes !

Linda,la fille de Salvo le pizzaiolo, a adressé une demande pour venir sur le marché.

En direct du C.A

"Comme chaque fois que nous recevons une demande, nous nous concertons entre membres du CA, analysant chaque demande avec beaucoup d’attention en tenant compte des avis de tous.

Nous sommes animés par le désir de maintenir un équilibre et de permettre aux commerçants présents toute l'année de gagner correctement leur vie. C'est la clé de la pérennité et de l'ambiance bon enfant de notre marché  ,le potentiel de clientèle de Ste Croix étant limité (marché de semaine, proximité de Cazéres, Montbrun et ST Girons). 

D'aucuns pensent que la diversité amènerait plus de monde.
Peut être, peut être pas. Mais le risque est réel de mettre en péril les permanents. Il nous faut donc faire des choix qui forcément ne plairont pas à tous pour maintenir l’équilibre et la pérennité de notre petit marché.

Et cela est particulièrement vrai pour la vente de nourriture à emporter. 

Depuis plusieurs années, nous avons la chance d'avoir Patricia, (la vendeuse de crêpes NDLR) qui est là chaque mercredi, dés 7 heures. Elle accueille les premiers arrivés et dispose une terrasse, véritable lieu de convivialité. 

Bien sur, tout le monde n'a pas envie de manger des crêpes! Mais d'autres offres sont présentes sur et autour du marché: les tartes salées et sucrées de Marion, les pizzas de Nathalie, le poulets rôtis de l'épicerie, les préparations du poulpe du lac et les préparations des parents d’élèves de Fabas.
Ce qui est déjà assez important pour notre village.

Et puis avons nous la vocation d'être un restaurant à ciel ouvert comme le marché de Montbrun ? 
Nous avons accueilli d’autres demande en restauration, pour leurs innovations telles que les tartines garnies ou la nourriture africaine, qui étaient préparées par des personnes travaillant localement. Mais à part les crêpes de Patricia, aucune de ces tentatives ne durèrent bien longtemps.
La vocation de notre marché est avant tout de promouvoir la production locale.

Nous avons rencontré Linda, qui bien que déçue, a entendu nos arguments. 

Peut être viendra -t-elle avec son camion un soir de semaine ? Ou en été au abords du lac….Et les amateurs de pizza seront rassasiés".


Un marché devenu protectionniste et sectaire ?

Il y a 15 ans lorsque j"ai mis en place ce marché associatif jamais je n'aurais pensé que la philosophie de l'époque pouvait évoluer vers du sectarisme notoire. Un petit marché voué à rester petit par les décideurs. La faute à une malencontreuse décision du C.A qui a refusé à une jeune entrepreneuse de venir vendre ses pizzas sur l'espace économique du mercredi. Certains diront : « quelle légitimité peut avoir une association, pour accepter ou refuser des commerçants sur un espace public ?" Espace qui appartient justement au public, villageois principalement et acheteurs alentours !
Etes vous d'accord avec décision de cette association de refuser un artisan local alors qu'elle en accepte d'autres ? 
La personne aujourd'hui qui aurait pu venir sur cet espace économique n'a plus envie d'en parler. Elle a  rebondi ailleurs à quelques kilomètres du village, là où on accueille les entrepreneurs !
Dire qu’il y a deux ans lors du 1er confinement il  avait été demandé au C.A d’accepter Salvo à l’époque pour venir vendre ses pizzas, sur le marché du mercredi.  La demande n’a eu aucune suite. Bis répétita avec sa fille Linda (voir plus haut). Très bien pour l’ostracisme . Cependant si c’est pour éviter la concurrence il faudrait, « éliminer » « La ferme de Poujac » à Fabas qui vend aussi à la ferme et les jardins du Bocage qui fait de la concurrence à CIA de Fabas la première arrivée sur le marché il y a 15 ans et  ! Un petit marché qui veut rester petit ?  Et puis les pizzas de la veille de Nathalie pour moi ce n’est pas comme de bonnes pizzas bien chaudes et croustillantes à retirer sur le marché, il y a donc du favoritisme terme démenti par le vice président.Pour couper les pizzas et les crêpes en deux, Linda pourrait venir au moins le 3ème mercredi pour tester sur le marché si son camion attire du monde, surtout qu’on va vers l’été et qu’il y aura du monde sur ce « petit » marché… ! Dire qu'au C.A il y a une personne responsable de l'association E.O.P (Ensemble On Peut) quel paradoxe ! Il y a aussi des producteurs et pour eux ça n'a pas l'air de les déranger d'interdire à une productrice qui se fournie auprès de producteurs locaux de  vendre ses pizza le mercredi matin ! Le plus dérangeant est qu'en interrogeant les personnes présentes le mercredi matin il y en a qui ne comprennent pas cette décision mais n'ont rien dit, ni fait pour que ça change !

Les responsables du marché devaient entre autre s'occuper de la mairie, dont le secrétariat est fermé le jour du marché et des voitures garées sur l'espace du marché certains mercredi ! 

 

Jean Samouillan était en dédicace sur le marché il a signé son livre "Hélène d'Ovalie" relatant la guerre de Troie considérée comme un match de rugby. L'auteur habite au village à quelques pas du centre bourg. Il est aujourd'hui à la retraite. Il était maître de conférence à l'ENSAV (école de cinéma à Toulouse). Aujourd'hui il écrit entre autre et c'est donc cette comédie en trois actes et deux mi-temps librement adaptée de l'Iliade d'Homère qu'il est venu présenter sur le marché. Il a vendu plusieurs ouvrages. Il reviendra. Mais nous le voyons le mercredi avec son chien quand il vient faire le marché et boire son petit café pour rencontrer ses amis.

Les Boulettes Canons est une chorale féministe, militante et autogérée, regroupée en mixité choisie (sans homme cis genre). Elle est basée dans le Volvestre ariégeois et est composée d’une quarantaine de femmes accompagnées de 2 guitaristes et une percussionniste. Elles chantent la sororité, elles chantent la liberté et l’empowerment. Elles chantent aussi les oppressions faites aux minorités et surtout l’impuissance et la colère des femmes que le patriarcat minorise.


Elles étaient plus de 20 femmes ce matin sur le marché de Sainte-Croix-Volvestre à l’occasion de la fête de la musique.

Leur première prestation publique date du 21 juillet 2021 et c’était sur le marché de Sainte-Croix-Volvestre. Un an plus tard, elles reviennent plus nombreuses et toujours aussi militantes avec de nouveaux chants.

Leur répertoire est très varié. Il est emprunté à la chanson française ou au répertoire traditionnel de l’Italie ou de l’Espagne ; il est en catalan, brésilien ou en patois italien ; il est a Capella ou accompagné des instruments acoustiques ; on peut y entendre des goguettes qu’elles ont inventé et y voir de la percussion corporelle. Certains chants sont féminisés et adoptent des termes de l’écriture inclusive.


On peut entendre des chants de Anne Sylvestre (Petit Bonhomme et Lulu le ver luisant) ou de Clara Luciani (La Grenade) ; un chant traditionnel Italien, Fimmene, qui est une complainte des femmes qui travaillaient dans les champs de tabac ; lePieu (L’estaca en Catalan) qui est un chant de lutte composé sous la dictature franquiste, Cancion sin miedo de Vivir Quintana (Mexique 2019) qui dénonce les disparitions et les féminicides dans son pays ; ou enfin, l’Hymne des femmes, composé par un groupe de militantes féministes lors du Mouvement de Libération des Femmes des années 70. Vu les sourires et les applaudissements nourris du public, ce spectacle fut un grand succés !

Article co-signé Aurélia Paillart et Franck Botteau

 

 

 

Sur le marché avec Aurélie Leconte

Vous arrivez sur le marché. Merci de vous présentez. "Lors d'une après midi à quelques semaines de la naissance de ma fille, mon ennui était telle que j'ai cousu ses premières lingettes, et son matelas à langer et ce passe-temps des après midis est devenu une passion. Puis, au fil des jours, c'est une aventure que je vis maintenant au travers de vêtements, de tissus, de chutes.
Ma couture est à l’image de mes convictions et de ma personnalité. Elle reflète ma sensibilité à l’écologie et aux petits et grands combats qui en résultent : la lutte pour la réduction de nos déchets, la revalorisation d'un bien et contre la surconsommation.
La valeur de mon atelier est la ré-utilisation des tissus, je récupère en don les vêtements, parures de draps et tout sortes de tissus pour leur donner une seconde vie. Je réinvente un produit en le détournant de son usage premier, c'est ce qu'on appelle le "surcyclage" (upcycling en anglais).
Je confectionne des articles lavables pour la maison, les courses, les piques-niques… Et j'aime particulièrement créer des accessoires féminin et masculin. 
Tous les modèles sont uniques et sont réalisés en fonction de mon stock de tissus.
Au fil de mon atelier c'est aussi au fil de mes envies de couleurs et d'imprimés.  
Au fil de vos demandes, j'ai la possibilité de transformer vos tissus d'enfance, de familles ou de personnalisé à la broderie". Contact : aufildemonatelier@gmail.com .
« Rien ne se perd, rien ne se créer, tout se transforme » comme le dit si bien Lavoisier.

Fête de la musique Le 22 juin ! Musique avec le chœur de femmes du Volvestre LES BOULETTES CANON. Suivi d'un grand Apéritif Dînatoire Participatif 

 

Des produits utiles sur le marché

Rencontre avec Aurélie Lecomte, couturière

. Lors d'une après midi à quelques semaines de la naissance de ma fille Chloé, mon ennui était telle que j'ai cousu ses premières lingettes, et son matelas à langer et ce passe-temps des après midis est devenu une passion puis, au fil des jours, une aventure que je vis tous les jours au travers de vêtements, de tissus, de chutes.

Ma couture est à l’image de mes convictions et de ma personnalité. Elle reflète ma sensibilité à l’écologie et aux petits et grands combats qui en résultent : la lutte pour la réduction de nos déchets, la revalorisation d'un bien et contre la surconsommation.

La valeur de mon atelier est la ré-utilisation des tissus, je récupère en don les vêtements, parures de draps et tout sortes de tissus pour leur donner une seconde vie. Je réinvente un produit en le détournant de son usage premier, c'est ce qu'on appelle le "surcyclage" (upcycling en anglais).

Je confectionne des articles lavables pour la maison, les courses, les piques-niques… Et j'aime particulièrement créer des accessoires féminin et masculin. 

Tous les modèles sont uniques et sont réalisés en fonction de mon stock de tissus.

Au fil de mon atelier c'est aussi au fil de mes envies de couleurs et d'imprimés. Vous retrouverez chacune de ces créations, confectionnée avec soin, en ligne sur le site. 

Et c'est aussi au fil de vos demandes, possibilité de transformer vos tissus d'enfance, de familles ou de personnalisé à la broderie, n'hésitez pas à m'en faire part par mail à aufildemonatelier@gmail.com ou sur la page Facebook Au fil de mon atelier, je prendrais plaisir à répondre positivement à votre demande.

« Rien ne se perd, rien ne se créer, tout se transforme » Lavoisier

sur le marché deux nouveaux producteurs

Laure Guichard vous propose des pâtes fraîches à base de semoule de blé dur bio, des lasagnes élaborées avec des produits locaux (pour la viande GAEC de la Caire) et des gnocchis, raviolis. Jean François Tournier boucher charcutier (GAEC de la Caire) à Mérigon

Dédicace d'Olivier Courthiade le 25 mai avec ses deux ouvrages sur les mérens et les mules .

Histoires de mules par Olivier Courthiade

Ces animaux aux longues oreilles, au regard tour à tour doux ou goguenard, m’ont fasciné de longue date. Il était grand temps d’accorder de l’attention à ces étranges animaux. Ma volonté –?en chaussant les bottes de mon ami Éric Rousseaux, auteur de Mules et Mulets, ces animaux d’exception?– est de donner quelques tuyaux (et recettes) aux néo-aficionados. Plutôt que de me lancer dans un ouvrage didactique, la forme épistolaire m’a paru plus sympathique pour livrer quelques secrets…

et plus appétissante. Et le cocher flamand à qui s’adressent ces lettres, existe-t-il vraiment?? Oui, gagné?! Beaucoup de chair et d’os sur ce “Géant des Flandres” à poil roux. Instructeur d’attelage de renommée internationale, directeur de haras, Emmanuel de Meulenaer a toujours élevé, dressé et utilisé des chevaux de toutes races.

Je le remercie d’avoir joué le jeu du débutant qu’il n’est pas. Le connaissant un tantinet gourmand, j’en profite pour lui suggérer dix recettes typiquement pyrénéennes. L’illustrateur de mes lettres, c’est Bruno Gras, mon «?voisin du dessus?», puisqu’il habite le dernier village en amont de la vallée de l’arize, au cœur des Pyrénées ariégeoises. »

Anne Marie Amilhat était en dédicace sur le marché ce 20 Avril 2022

Le 19 octobre 1988, Anne-Marie Amilhat subissait une greffe du cœur et des poumons, à l'âge de 39 ans. Trente ans plus tard, cette Fuxéenne est l'une des plus anciennes patientes transplantées au monde. Elle raconte ce jour décisif, sa nouvelle vie, de ses premiers instants jusqu'à aujourd'hui.

Nous sommes le mercredi 19 octobre 1988. Anne-Marie Amilhat a quitté sa terre d'Ariège depuis cinq semaines. La Fuxéenne attend, dans son lit de l'hôpital Marie Lannelongue, au Plessy-Robinson, près de Paris. Elle attend une sorte de miracle qui pourra l'arracher d'une issue fatale. «Une longue attente, difficile, même si j'étais dans un demi-coma», dit Anne-Marie. Depuis neuf ans, cette mère de trois enfants se bat contre une maladie qu'on ne peut vaincre. À l'âge de 30 ans, un médecin de Toulouse lui a diagnostiqué une hypertension artérielle primitive, «une maladie rare, invalidante, et mortelle. Le ciel toulousain m'est tombé sur la tête», raconte-t-elle.

«J'ai senti l'air dans mes poumons»

Peu de temps avant le 19 octobre, Anne-Marie pressent la fin du voyage : «Toute ma famille était montée me voir à l'hôpital. Le médecin leur avait dit que je ne verrai pas le week-end». Mais la nuit suivante, les néons s'allument au plafond de la chambre. Il est 1 h 30 du matin. Un cœur est en chemin. Des poumons aussi. «On y va», lâche le médecin. «À ce moment-là, il m'a fait un bisou sur le front. Cette bise, je ne l'oublierai jamais», dit Anne-Marie avec émotion. Le professeur Philippe Dartevelle prend en charge l'opération. La greffe d'un nouveau cœur et de deux poumons dure 10 heures. Un exploit chirurgical, et une réussite. «Au réveil, j'avais l'impression qu'un rouleau-compresseur était passé sur ma poitrine, se souvient l'Ariégeoise. Puis, jour après jour, j'étais comme une fleur qui s'ouvrait, tout le contraire d'avant l'opération, où je sentais que je me refermais. Le 11 novembre, je suis sorti de l'hôpital, et là j'ai senti l'air entrer dans mes poumons».

Une fan du Luzenac Ariège Pyrénées

Clin d'œil de l'histoire, l'ambulancier qui la conduit jusqu'à l'aéroport n'est autre que celui qui a convoyé les greffons dont elle a bénéficié. Une découverte qui émeut l'homme aux larmes. Anne-Marie apprend que le donneur venait d'un pays étranger… «Il est crucial que le don d'organes demeure anonyme. Tant qu'il le reste, il sera gratuit», insiste-t-elle.

Le 7 décembre, la Fuxéenne peut à nouveau fouler le sol ariégeois. Une lettre du président du club de foot de Saint-Jean-du-Falga lui fait chaud au cœur : «Vous avez marqué le plus beau but de la saison», était-il écrit. Le football a accompagné Anne-Marie durant son ancienne vie, il la suivra tout au long de sa nouvelle. Pour le club de Luzenac Ariège-Pyrénées (LAP), son cœur n'a jamais vacillé. «Encore aujourd'hui, je dois me rendre à Paris tous les trois mois pour des examens. Pendant un temps, je faisais correspondre ces rendez-vous avec les matches à l'extérieur de Luzenac. Je profitais d'être à Paris pour prendre le train pour Amiens, Vannes ou autres pour aller les voir jouer», raconte-t-elle avec un brin de malice.

«Ça n'a pas été un long fleuve tranquille pendant 30 ans»

À l'image du LAP, sa deuxième vie, bien qu'inespérée, «n'a pas été un long fleuve tranquille», comme le dit la supportrice. En 34 ans, le traitement anti-rejet qu'Anne-Marie prend tous les jours provoquera chez elle une mauvaise bactérie, un lymphome puis un rein abîmé qui lui vaudra une nouvelle greffe, il y a un an et demi. Elle n'a également jamais pu réexercer son métier dans les assurances. «C'est très important de se surveiller, même 34 ans après. Une greffe, ça n'est jamais gagné».C'est pour porter ce message au plus grand nombre et faire la promotion du don d'organes qu'Anne-Marie Amilhat a créé l'association ADOT 09 (aujourd'hui dissoute), seulement un an après sa transplantation. «J'avais besoin de partager cela avec tous ceux qui attendent un greffon. Je voulais aussi dire le bonheur que je vis d'être greffée et d'avoir vu naître et grandir mes petits-enfants».

Enfin, les derniers mots de cet article ont été les premiers d'Anne-Marie Amilhat lors de cette entrevue : «Je veux d'abord et avant tout remercier mon donneur, ainsi que l'hôpital Marie Lannelongue», a-t-elle commencé. Une gratitude envers le professeur Dartevelle et son équipe médicale qu'elle pourra solennellement adresser au cours de la fête organisée pour le 30e anniversaire de sa greffe. Elle a couché sa vie sur papier avec sa biographe Sabine Reig Genty.

Vannerie sur le marché

Sandrine Salvetat a une passion, la vannerie. Elle était sur le marché du mercredi pour initier les personnes intéressées par l’osier et apprendre comment le travailler. A mélanger les techniques, les matériaux, les formes, on peut, sans se lasser renouveler l’intérêt et explorer toutes les techniques sans limites C’est ce qu’elle concrétise dans sa vannerie variée et qu'elle a transmis ce mercredi au marché. Elle trouve son osier autour du village. Une autre animation est prévue le 18 mai toujours sur le marché. 

 

Un livre sur le marché du mercredi.

Jean-Paul Loubes

« Les mots, c’est finalement tout ce que nous avons, alors il vaut mieux que ce soient ceux qu’il faut et que la ponctuation soit là où il faut pour qu’ils puissent dire le mieux possible ce qu’on veut leur faire dire » écrivait le poète américain Raymond Carver. C’est exactement cela. C’est ce qui peut se passer un jour de marché, à Sainte-Croix Volvestre, pour peu qu’un ami des mots ait invité un auteur à venir dédicacer un livre. Entre les légumes bio, les pâtisseries artisanales sans gluten et les fromages de chèvre, il y a une table au bout des rayonnages où Crovc’livre propose une seconde, une troisième, une quatrième vie à des livres. Dans Ardoise Philippe Djian rappelle ces mots de Charles Bukowski : « Un jour, j’ai sorti un livre, je l’ai ouvert et c’était ça !» 

Je suis arrivé à dix heures précises comme l’avait demandé Franck. Une table m’attendait et j’ai aligné les exemplaires du livre en question. Ce n’était pas n’importe quel livre. C’était celui de l’enfance. C’est important car « Nous avons tous deux vies. La vraie, celle que nous avons rêvée dans notre enfance, et que nous continuons à rêver, adultes, sur fond de brouillard, la fausse, celle que nous vivons avec les autres, qui est la pratique, l’utile… ». Tout est là, dans ces mots de Fernando Pessoa. Chez certains d’entre nous l’urgence s’impose un jour de rendre hommage à ces hommes ou femmes qu’Orwell nomme des « éducateurs » et qui ne disparaissent jamais de nos mémoires et de nos cœurs. Albert Camus n’oublia jamais l’instituteur de son enfance « Monsieur Germain ». Que pouvais-je faire d’autre sur le marché de Sainte-Croix, que de partager avec ceux qui l’avaient connu, ce livre-hommage au curé de mon enfance, l’abbé Jean-Marie Piquemal ? 

Mais ce n’était pas n’importe quel livre. Des années durant, les missions et aventures de terrains m’avaient conduit en Chine, en Mongolie, en Asie centrale, ou chez les Ouigours qu’alors personne ne connaissait. Si ces voyages m’ont construit, je n’ai jamais oublié mon port de départ, « ce village qui m’a fait ». Je pense plus que jamais qu’il faut être de quelque part pour se projeter dans le Monde. Moi qui ne suis pas croyant, il ne me coûte pas de dire ce que je dois à celui que je nomme « le dernier curé » et dont j’ai voulu saluer l’œuvre, la Chapelle de Notre-Dame de la Goutte à Montardit. Sur la place du marché, beaucoup m’ont rejoint dans cet hommage.

 

L'assemblée générale de l'association "Marché de Ste Croix"

 

Des producteurs, des adhérents et des conseillers municipaux étaient présents à cette assemblée. Elle était présidée par Maurice Lartigue qui a retracé la genèse du lieu économique fondé en 2006 par des citoyens du village et qui fonctionne depuis en association. Le marché est passé de 68 adhérents en 2018 à 93 aujourd'hui. Les producteurs sont fidèles à l'année sauf en cas de trou dans leur production. l'an dernier il y en a eu 4 nouveaux, Domitille de Fabas légumes de saison, Amina Diarra et sa cuisine africaine à emporter, Sabine et Franck avec leur production à Lafriche et leurs plants de médicinales ainsi que leurs confitures et produits transformés, Maria et ses tisanes viennent aussi régulièrement. La table du marché est ouverte, c'est un lieu de rencontre et d'informations locales. De là est né EOP "ensemble on peut tout" qui regroupe la table du marché et d'autres associations. Ainsi, on retrouve Le colibri; le réseau JEU (Jardin échange universel), La guinguette de Lasserre (association d'ici là), La monnaie 09 locale "Pyréne". Ces rencontres se font chaque 3ème mercredi du mois avec l'attraction du marché le croc'livres et son échange de livres complémenté par les dédicaces d'auteurs (pour cela contacter le 06 43 20 87 93) pour vous inscrire. Le marché achète à chaque auteur un livre qui est prêté à la la demande aux adhérents.

Les orientations pour cette année : Troc outils, semences, livres au printemps et à l'automne. Il est prévu une foire de printemps autour du végétal.

Evénements en parallèle

Vannerie,fabrication de balais en sorgho, boutures, plantations, greffes etc.Le marché permet aux musiciens locaux de s'exprimer et les défraie. Il est toujours question d'étudier l'implantation d'un chalet sur la place qui rendrait vraiment service à l'association, achat de matériel permettant de protéger et maintenir le Croc' livres en cas de pluie la mise en place d'une boite à livres en espérant une halle. En résumé, le marché de Ste Croix se porte bien.

contact : marche-sainte-croix@orange.fr

Ce mercredi c'était la rentrée pour le foyer rural et le club loisirs et détente sur le marché. Les deux associations proposaient comme tous les mercredi leurs réalisations. Du tricot de la couture, des vêtements fait mains. Pour l'occasion ces dames ont posé pour la photo en compagnie de Pierre Fauroux président d'honneur et fondateur en 1977 du club des aînés. Les deux associations vous donnent rendez-vous toute l'année pour les ateliers du foyer rural ainsi que les diverses animations du club loisirs et détente. Elles profitent de l'occasion pour vous souhaiter une bonne année et une bonne santé.

 

 

 

 

Comme à chaque veille de Noël, le marché de Sainte-Croix, via l’association, organise "le marché en fête". A cette occasion, les commerçants proposeront  des produits festifs pour les réveillons de fin d’année, la plupart issus des circuits courts locaux, qu’ils soient alimentaires ou artisanaux.
Durant la matinée, il y aura le groupe "les bijoux de la castafiore" et un apéritif dinatoire avec du vin chaud offert par l'association du marché.
Les dédicaces du troisième mercredi du mois reprendront sur le marché en mars prochain. Les auteurs qui souhaitent s’inscrire peuvent contacter le 06 43 20 87 93.

L'association "Lacoluci" tient à remercier le marché de Ste croix pour son soutien de 100€ aux "Niouzes de Santa Cruz".

 

Le plein d’animations avant Noël
Ce mercredi 15 Décembre, comme tous les 3ème du mois, le marché fera le plein d’animations. 
On retrouvera de nouveaux chalands, qui ne viennent pas forcément tous les mercredi comme les savons de Maguy, les fabrications du foyer rural et des aînés entre autre et puis bien sûr le fameux croc’livres organisé par les bénévoles de l'association.Les livres triés sont présentés au public qui lui peut en déposer et en prendre pour échanger et mettre un peu d’argent dans la caisse du marché prévue à cet effet. Ce mercredi, on découvrira sûrement de nouveaux client pour ce marché, lieu d’échange économique avec l’épicerie et le café permettant des rencontres conviviales. La municipalité a prêté l'ancien local du comité des fêtes (dissout) pour permettre au marché d'y entreposer les livres afin de les mettre à l'abri.
Pour des infos, voici la boîte mail du marché : marche-sainte-croix@orange.fr. 

 

 

Patrick Bauchet est venu en dédicace sur le marché du village. Il présentait son livre histoire vraie de la résistance en France de 1939 à 1945. Ce livre retrace les diverses aventures des résistants. Nous allons nous attarder sur l’histoire de la Résistance et de la Déportation en Ariège
Patrick Bauchet tient à remercier André Balent, auteur des témoignages sur l’Ariège qui lui a permis de reproduire ses écrits. Le Centre d’Histoire de la Résistance et de la Déportation propose de découvrir l’histoire de l’Ariège pendant la Seconde Guerre mondiale. Résolument centrée sur les spécificités de ce territoire rural et montagnard proche de l’Espagne, l’exposition se décline en trois séquences.
Ce qui nous intéresse la, c'est la résistance. 
Des premiers tracts clandestins aux maquisards libérant Foix en passant par les passages, à travers les Pyrénées, des juifs, Résistants ou aviateurs Alliés cherchant à quitter l’Europe occupée, la Résistance ariègeoise a connu bien des visages.
Des premiers témoignages de Résistants et Déportés, jusqu’à l’œuvre réalisée en 2015 par des lycéens pour représenter la libération des camps, la mémoire est indissociable de l’Histoire de la Seconde Guerre mondiale. 
Les dédicaces font une pause jusqu'au printemps, si vous souhaitez venir proposer votre livre et le dédicacer appeler le 06 43 20 87 93

Patrick vous êtes venu à la dédicace du mois sur le marché du village présentez-vous : Ancien chef cuisinier de la Compagnie Générale Transatlantique, et également dans d'autres restaurants de France et en Andorre, J'ai finalement terminé ma carrière comme chef à l'Auberge du Crabére à Melles dans les Pyrénées Centrales.

J'écris beaucoup de livres comme la Cuisine du Gibier, Ma vie à bord des cargos et cargos mixtes de la Compagnie Générale Transatlantique, La cuisine gourmande du Comminges, La Truffe noire du Triangle dans l'Aude, Ma cuisine du terroir des Pyrénées jusqu'à Toulouse, La Vanille : Dix façons de la préparer. et d'autre encore.

Ancien Maire de la commune de Montesquieu-Guittaut. et grand supporter de l'équipe de Rugby de l'Isle-en-Dodon en fédérale 3. La semaine prochaine je serai à Brest puis Concarneau pour le salon du livre de la mer.

Depuis cet été les habitués du marché de Ste Croix peuvent découvrir Ricardo Feliz, un artisan affûteur rémouleur. Sa passion ? Aiguiser tout ce qui tranche et qui coupe : Couteaux de cuisine, ciseaux, sécateurs, haches, fers de rabots… Il propose ses services aux particuliers et aux professionnels. A l’heure où chacun prend conscience de l’importance de redonner une seconde jeunesse aux outils et aux ustensiles, cette offre de service est précieuse.

Dans une autre vie professionnelle, Ricardo était chef d’équipe dans le BTP. Au lendemain d’un problème de santé, il a choisi de se reconvertir en créant la Fine Lame Martraise : « Je me suis découvert une passion pour ce métier d’antan. Après avoir appris tout seul via des vidéos sur internet, j’ai suivi une formation et passé le diplôme de l’école nationale d’affûtage et remoulage de Beaumarchés, unique école en France. J’ai installé un atelier à mon domicile à Martres Tolosane. En plus, je suis présent chaque semaine sur les marchés de Cazères, Mondavezan, Martres et Le Fousseret. Les gens sont contents car nous sommes peu en France à exercer ce métier, et faire appel à un affûteur industriel entraîne de longs délais d’exécution. Je travaille aussi bien avec les ménagères qu’avec les professionnels de la coiffure, des métiers de bouche, du jardinage ou encore du bricolage ».

Source : La petite république

Plus d’infos : La Fine Lame Martraise au 07 61 47 19 18 ou page Facebook La Fine Lame Martraise

 

Rencontre sur le marché avec Domitille Boitard, productrice maraîchère à la ferme de Poujac située sur la commune de Fabas. Orthophoniste depuis 2007, Domitille a travaillé en Martinique et en ville dans l'Hérault. Avec son compagnon elle a fait le choix d'une vie plus connectée avec la nature. Ils se sont installés avec leurs enfants en Ariège, à Fabas, en juillet 2020.

Ils avaient au départ un projet d'autonomie alimentaire qui a évolué vers  un projet professionnel de maraîchage lors de son année de formation au BPREA (Brevet professionnel d'exploitant agricole).

Mais son souhait reste cependant de travailler sans mécanisation sur une petite surface et de commercialiser localement.

En effet la relocalisation de l'alimentation est pour elle très importante dans le contexte social et environnemental actuel. C'est pourquoi la vente à la ferme lui tient particulièrement à cœur car elle regroupe plusieurs producteurs locaux. Elle est la démonstration que se nourrir essentiellement en local c'est possible! C'est aussi une façon de créer du lien entre producteurs et entre consommateurs et producteurs. Domitille produit des légumes bio (c'est sa première saison) en s’inspirant des techniques de maraîchage sur sol vivant. Elle a une petite surface d'environ 1000 m2 pour l'instant avec une petite serre. Elle s’est associée avec d'autres producteurs locaux pour organiser une vente à la ferme  qui a lieu tous les vendredis soirs de 17 à 19h et où l'on pourra trouver : légumes, pommes,  fromage, pain, oeufs, poulets, et divers produits transformés: soupes, confitures, jus, sirops, miels, tisanes...  la plupart des produits sont certifiés bio, ils sont tous locaux !

Jacques Séguy était en dédicace

Cet écrivain nouvelliste est originaire de l’Ariège. Après des études à Pamiers, il intègre l’école nationale supérieur de police de St Cyr Mont d’or. Il est inspecteur spécialisé dans les enquêtes judiciaire notamment pour la protection de l’enfance. "n’attendez pas de polar de ma part" nous dit ce policier au grand coeur. En effet durant deux heures de dédicace ce mercredi il a signé son dernier ouvrage plébiscité par Bernard Pivot de l’académie Goncourt. Beaucoup de personnes sont venu découvrir « les saisons du coeur » son dernier  livre. Il a été enchanté de cette matinée conviviale a t il dit. Prochaine dédicace Le mercredi 15 Septembre à partir de 10h00 avec Jean Paul Copetti et ses ouvrages "pour le repos des morts" et "le sanglot des Danaïdes", il y aura aussi Patrick Beauchet et "les histoires vraies de la résistance en France de 1939 à 1945".

Invitée à venir sur le marché, Joséphine Caubet à présenté son livre de poèmes écrit en espagnol.

Joséphine CAUBET est née à Toulouse en 1973, de parents andalous

originaires de la province d’Alméria. Elle suit un cursus d’études hispaniques à l’Université Jean Jaurès. Elle débute sa carrière de professeur d’espagnol dans le Tarn, puis dans divers établissements de la banlieue parisienne, avant de s’installer en 2001 en Ariège, où elle enseigne au Lycée du Couserans de Saint-Girons.

Elle nous a fait découvrir « poemas de un dia » son dernier ouvrage qui est vendu à la Mousson de St Girons et aux temps moderne de Pamiers.

"LES BOULETTES CANONS"

 

« Les Boulettes Canons" ont effectué une belle prestation sur le marché du mercredi. Elles sont un jeune chœur de femmes du Volvestre en non mixité choisie. Leur répertoire est principalement féministe. On peut y entendre des chansons comme l'Hymne des femmes ou La complainte des filles de joie entrecoupés par de courts chants en canon ou en polyphonie dans lesquels elles ont pris soin de remanier les paroles afin, toujours, de dénoncer la minorisation des femmes, la domination du patriarcat et les violences subies. Le chœur se destine a chanter principalement sur les marchés de plein vent du territoire et aux manifestations “

Deux amis en dédicace

En effet comme chaque mois le marché organise des dédicaces. C’est Daniel Pujol et Gilles Castroviejo qui ont passé la matinée sur la place.

Daniel présentait son 1er ouvrage « Paysan Autrement » :Notre agriculture souffre de mille maux : érosion des cours de matières premières, baisse durable des aides PAC, concurrence sévère intra-européenne, et bientôt d'autres à venir (accords du CETA et du MERCOSUR), « Agribashing » des « paysans pollueurs ».

D'origine  modeste et très attaché à ses racines de Haute Ariège, Daniel Pujol  intégrera Sup de Co. A 23 ans, il entre chez le leader mondial de la  pelle hydraulique, où il exercera des responsabilités internationales,  d'abord en l'Amérique latine, puis en Extrême Orient. De retour en  sud-ouest à 32 ans, il découvre par hasard le monde agricole en milieu  hostile : la montagne béarnaise. Il raconte dans son livre son parcours de trente-cinq ans dans  l'univers agricole et son environnement. Il nous fait part de ses  réflexions et conclusions.

Quant à Gilles Castroviejo il présentait « De Charybde en Scylla ».

Gilles est auteur de chansons pour le groupe GOLD il a également écrit « l’épopée du talc » un récit historique, « Parlez-moi d’Ariège » un recueil de poèmes, « Enlevez les cales » un récit sur l’Aéropostale, « A fleur de cœur » un autre recueil de poèmes, la biographie d’« Adelin Moulis, cent ans pour l’Ariège », une monographie « Albiès, mon village d’Ariège » etc. dans son ouvrage il présente un certain regard sur notre société, son évolution à travers trois générations et les compétences et manquements qu’elle connait.

Un roman témoignage d’une époque qui n’est pas terminée. Les deux auteurs tiennent à remercier le marché pour son accueil et l’a bonne ambiance qui y règne.

 

Le marché du mercredi a accueilli la troupe de la cie contrepoint dirigée par Soraya Daigre. La pièce « un mot pour un autre »jouée sur la place était du poète Jean Tardieu. Elle imagine des situations théâtrales où le jeu sur le langage manifeste le ridicule de certaines situations stéréotypées. Dans cette scène, Madame reçoit son amie, Mme de Perleminouze, pour prendre le thé. Mais voici qu'entre M. de Perleminouze, qui est l'amant de Madame….

 En voici un petit résumé Vers l'année 1900 — époque étrange entre toutes —, une curieuse épidémie s'abattit sur la population des villes, principalement sur les classes fortunées. Les misérables atteints de ce mal prenaient soudain les mots les uns pour les autres, comme s'ils eussent puisé au hasard les paroles dans un sac. Le plus curieux est que les malades ne s'apercevaient pas de leur infirmité, qu'ils restaient d'ailleurs sains d'esprit, tout en tenant des propos en apparence incohérents, que, même au plus fort du fléau, les conversations mondaines allaient bon train, bref, que le seul organe atteint était : le « vocabulaire ».

Le public venu en nombre peut apprécier les acteurs et actrices ainsi que ma mise en scène de Soraya. Cet atelier repartira pour une nouvelle saison en Octobre prochain si les conditions sanitaires le permettent. La prochaine animation sue le marché aura lieu le mercredi 21 Juillet avec le « Croc’Livres » et les dédicaces de Daniel Pujol et son ouvrage Paysan autrement ainsi que Gilles Castroviejo et son ouvrage de Charybde en Scylla.

Bernard Cazeaux était en dédicace ce mercredi 16 Juin 

L'auteur Fuxéen  Bernard Cazeaux donne vie au «Maître des Dupes».

Dans son 11e livre— également son quatrième roman policier — l’auteur ariégeois Bernard Cazeaux fait plonger le lecteur dans un univers où le pouvoir, l’argent et le sexe sont les instruments d’une manipulation machiavélique. 
Une année faste malgré le contexte pour l’auteur fuxéen plutôt prolixe (plus de 20 ouvrages en 15 ans), qui a participé pour la première fois au marché du mercredi 
"Pour moi, le confinement ne change pas grand-chose, reconnaît-il. À part le fait que cette année ne nous a pas permis de rencontrer nos lecteurs, puisque quasiment tous les salons littéraires ont été annulés." Heureusement, les réseaux sociaux permettent de conserver le lien, au travers des blogs des différentes associations dont il fait partie (Les Auteurs d’Occitanie, l’Acala…), et d’échanger avec les collègues écrivains. C’était la première fois qu’il participait au marché et qu’il retrouvait « son » public !
Bernard Cazeaux avoue que l’écriture lui permet de s’extraire de l’ambiance morose, car "quand on écrit un livre, on est dans un monde qu’on a créé". Ses lecteurs ont hâte de le visiter. Il a été enchanté de la matinée et il a vendu des livres. Il devrait revenir cet été en juillet ou bien en août. La prochaine dédicace il y en aura deux aura lieu le 21 juillet avec Daniel Pujol et Gilles Castroviejo deux amis.

La campagne électorale s'invite sur le marché

Amazon s'invite aussi sur le marché !

 

Alain Bari DVD en campagne, fait ses courses sur le marché

 

Le marché du mercredi a eu l’honneur, de recevoir pour une dédicace, la célèbre jeune auteure Djalla Maria Longa. Elle venait pour son 40ème anniversaire, dédicacer son denier ouvrage « Équilibre »

Comme elle le présente, son livre est un reflet en forme de nouvelles de 17 témoignages que nos montagnes souhaitent réconcilier. Le petit garçon ou la fillette qu’ils ont été montre clairement qu’un enfant vit et suit ses parents quoi qu’ils fassent. Pas facile dès lors que l’équilibre des autres les renvoie à l’instabilité que subit parfois leur propre noyau familial. Ce n’est que plus tard qu’ils vont s’apercevoir que ce qu’ils croyaient être « normal » ne l’était pas toujours… 

Parents à leurs tours, ils partent à la recherche d’un certain équilibre de vie…   

N’était-ce pas l’objectif même de leurs  parents  ?

elle raconte aussi que son ouvrage actuel fait office d’une suite à son premier livre Mon enfance sauvage, qui continue de susciter interrogations et admiration. Mais combien d’enfants sont-ils à avoir vécu une existence hors des sentiers battus ?  Équilibre, un récit pluriel, une traversée du miroir dont on ne sort pas indemne.

Aujourd’hui, ce n’est pas seulement son histoire que Djalla nous livre, mais celle des autres. Celle d’un voisin, d’un ami, d’un inconnu. Pour les rencontrer, elle a dû parfois aller les chercher de l’autre côté de la planète. La plupart d'entre eux ont grandi en Ariège ou dans les Pyrénées. Comment ont-ils vécu cette vie imposée par leurs parents qui ont fait le choix d’habiter en marge de la société ? Que sont-ils devenus  quarante ans plus tard ? Certains ont été à l’école, d'autres pas. Les enseignants les ayant eus en classe, font un retour quelque peu atypique les concernant. Certains passages bousculeront très certainement vos esprits… A la fin du marché Djalla a bien apprécié ce petit marché du Volvestre ariègeois et se rassure par la même occasion qu’il est toujours aussi agréable d’y venir ‘c’était la 3ème fois) et rencontrer ses fans qui la suivent depuis toujours et avec qui elle échange lorsque c’est possible.

Djalla Maria Longa sera en dédicace le 19 Mai

Nous avions quitté Maria Djalla-Longa en pleine période de doute. Elle n’avait pas échappé à la Covid-19.

Nous l’avons retrouvée débordante d’énergie positive à quelques heures de la sortie de son neuvième roman: Équilibre. Ce sera pour ce mercredi 28 avril.

Sans entrer dans la trame, on devine que la Massatoise a pris beaucoup de plaisir à vivre ces rencontres aux quatre coins des montagnes avec ces enfants pas ou peu scolarisés. Un monde qui fut le sien et dont elle garde les souvenirs heureux et des cicatrices profondes.

Près de 20 rencontres pour autant de moments inoubliables où chacun évoquait,évacuait ses tranches de vie pour le plus grand bonheur de ce bon vieux dictaphone qui est à l’écrivain ce que le bâton est au pèlerin du Chemin de Compostelle. On écoute Maria.

Étiez-vous préparée à toutes ces confidences ?

Un peu, dans la mesure où mon vécu me donnait une certaine légitimité. J’avoue que certaines m’ont particulièrement touchée.

Le terme de réconciliation est souvent évoqué. Est-elle envisageable?

Chacun a conscience de la nécessité mais aussi du nombre de difficultés à surmonter. Quelles sont les barrières de la normalité entre des modes de vie et de pensée très, trop différents. Où débute la normalité? Comment définir un équilibre sans tomber dans le risque du reniement ou de la repentance?

Ces échanges ont-ils valeur de thérapie ou d’exutoire?

Je me suis parfois posé la question sans trouver vraiment la réponse. Je ne me sentais pas le droit, la légitimité de porter des jugements aussi péremptoires. Ne serait-ce que sur l’école, l’éducation. Moteurs essentiels de l’intégration pour certains. Prisons pour d’autres.

En guise de conclusion?

Je souhaite aux lecteurs et lectrices, quelles que soient leurs origines et leur âge, de partager mon émotion. Le temps des réflexions, des conclusions en deviendra presque secondaire. Des moments à lire… Des moments à vivre. Je regrette que les conditions sanitaires interdisent les salons, les dédicaces. Des moments propices générant des discussions et des échanges sans concession. Les commandes doivent être adressées aux Éditions Roc du Ker.

L'auteur Bernard Cazeaux donne vie au «Maître des Dupes» Il sera sur le marché le mercredi 16 juin.
Bernard Cazeaux décortique avec brio le processus d’emprise mentale. L'essentiel Dans son 11e livre— également son quatrième roman policier — l’auteur ariégeois Bernard Cazeaux fait plonger le lecteur dans un univers où le pouvoir, l’argent et le sexe sont les instruments d’une manipulation machiavélique. Interview.

Vous croquez souvent des personnages à faces multiples. Pourquoi cet intérêt pour ces cerveaux alambiqués??

Je préfère explorer des personnages aux caractères complexes, comme la vie l’est d’ailleurs, avec leurs tentations, leurs faiblesses et aussi leur force. J’aime bien aussi les « Tartuffe » hypocrites?; les loups qui se couvrent d’une peau de mouton pour mieux nuire. Dans ce roman, je voulais mettre en avant la perversité de certains qui n’hésitent pas à abuser les plus faibles.

Pouvez-vous nous présenter Melchior, le « Maître des dupes »??

Je me suis inspiré d’un ex-collègue qui faisait partie des cadres d’une secte mondialement connue. Ce qui frappait, c’était son ego surdimensionné et sa condescendance. Son statut d’Élu supérieur comblait sa mégalomanie. En discutant avec lui, j’ai découvert avec effarement que nombre de membres de cette secte, qui prospère malheureusement toujours, appartiennent à des classes sociales dites supérieures.

Quels sont les secrets pour être un bon gourou??

Maîtriser un discours bien rodé et déceler chez les autres les fragilités pour y apporter des réponses simples, souvent mystérieuses et surnaturelles. En gros, dire aux gens ce qu’ils veulent entendre en leur donnant le sentiment d’être unique et élu. Devenir indispensable pour l’adepte et se faire admirer sans modération.

Qui est prédisposé à tomber sous son emprise mentale??

Des personnes fragiles psychologiquement?; mal dans leur peau?; isolées?; avec un sentiment d’échec parfois?; mais aussi d’autres, insatisfaites, qui ont un besoin énorme d’appartenance et de reconnaissance qu’ils ne trouvent pas dans leur vie professionnelle et sociale.

Quels sont les dangers des réseaux sociaux, des « fake news » et de la réputation numérique??

La connaissance est complexe et demande des efforts pour l’acquérir. Aussi, beaucoup préfèrent avoir réponse à une question plutôt que matière à réflexion. Les réseaux, c’est l’explication simpliste qui offre une réponse aux individus sans effort de leur part. La remise en cause de tout, notamment de l’Histoire, par l’absence de recul et de recontextualisation est très préoccupante aujourd’hui. Ce qui devrait être un outil de connaissance et d’émancipation est devenu un outil de manipulation qui prospère en flattant les bas instincts et en instituant la bêtise comme norme?; au point que la science est rendue suspecte en la taxant d’élitisme.

« Le Maître des Dupes » est votre premier roman édité par « l’Association de Création Artistique et Littéraire d’Ariège »

Effectivement, je suis touché que Véronique-Isabel Aguilar, la Présidente de l’Acala, me fasse confiance. J’espère que cette collaboration n’est que le début d’une longue histoire entre l’Acala et moi, et que ce ne sera ni une fiction, ni une intrigue policière (rires)?!

On connaît les assassins...
Contrairement à ses autres romans policiers, Bernard Cazeaux dévoile le nom et les motivations des assassins très tôt dans le récit.  Dans «Le Maître des Dupes», l’enquête est le prétexte d’exposer les mécanismes pervers mis en œuvre par un  gourou qui ne recule devant rien pour parvenir à ses fins.

Infos : www.facebook.com/bernard.cazeaux.940 ou www.facebook.com/editionsacala
    
Propos recueillis par Véronique Delamarche

 

Wolfgang Bendick, était sur le marché du mercredi pour dédicacer le dernier livre de sa trilogie  Les Néo-Ruraux, où il raconte l’expérience d’une vie.  Wolfi est arrivé en Ariège il y a 41 ans après avoir été matelot au long court et aventurier (lire Hippies Trail 1 et 2) il décide avec sa famille de s’installer en Ariège et plus précisément à Augirein dans le Couserans. 
Le 1er tome, Le berger raconte donc son installation avec sa famille avec plein de conseils, soit un petit guide de la vie à la campagne. Le 2e tome, Le fromager, est l’histoire de leur lancement dans la fabrication du fromage avec très vite une belle réputation. Ce livre est donc la suite du Berger et continue de raconter l’histoire d’une famille de néopaysans et d’une vallée perdue des Pyrénées, il donne des conseils précieux sur la vie quotidienne d’une ferme en montagne, sur les problèmes rencontrés avec les animaux ou avec la technique et surtout la fabrication du fromage.
Il vient donc de terminer ce 3e tome, Le paysan bâtisseur  qui est en quelque sorte une réflexion sur ce qu’est devenue la ferme : "la vie et le temps dans notre vallée s’écoulent lentement, notre ferme est presque parfaite, les terres sont devenues fertiles et donnent assez de pâturages et de foin pour nos douze vaches, des chemins d’accès ont été créés, nous vivons presque en autarcie. Dans quelques années notre fils aimerait reprendre la ferme, est-ce qu’il pourra vivre avec sa famille ? Est-ce qu’il pourra faire les travaux seuls ? Prolifique en écriture, ce monsieur compte bien continuer à s’occuper des vaches et fabriquer le fromage si apprécié sur les marché de la région. Cependant il a aussi un autre projet, celui d’écrire un ouvrage sur le barrage du lac de Montbel qui a noyé toute une vallée. La prochaine dédicace ou plutôt les prochaines, auront lieu le 19 mai. Ce jour, le marché accueillera Alain Pontoppidan pour ses ouvrages sur les arbres et Djalla Maria Longa qui viendra avec son dernier ouvrage "Équilibre" qui sortira le 28 Avril 2021 en librairie ! 

 

 

 

L’atelier d’auto-réparation du bicloune. 

Le vélo ça ne s’oublie pas. 

C’est ce qu’on dit souvent quand on remonte sur une bicyclette après des années le cul  posé dans sa voiture. Oui d’accord, ça ne s’oublie pas, mais le vélo, lui, ça fait longtemps  qu’il a oublié qu’il pouvait encore rouler. 

Pneus dégonflés après tant d’années, freins qui ne serrent plus à force de ne plus servir,  vitesses qui accrochent, selle qui tourne sur elle-même, roues qui louvoient, voilà ce qu’on  trouve au fond du garage quand on souhaite reprendre son bicloune pour faire un tour aux  beaux jours. 

Ton cycle a besoin d’un coup d’pompe et tu n’as pas trop envie, pas la motivation, bref t’as  trouvé l’excuse pour prendre ton auto pour venir au marché. 

Plus d’excuse ! 

L’atelier d’auto-réparation du bicloune s’ouvre à tous pour réparer, partager, échanger,  apprendre, transmettre. 

C’est chaque 3ème mercredi du mois sur le marché de Sainte Croix 

Plus le 19 mai, le 16 juin, le 21 juillet etc etc. 

L’atelier propose des outils, des conseils d’utilisateurs, des savoir-faire, des contacts. 

Toi, t’apportes ton bicloune dans son jus, on regarde ensemble, on répare ensemble et tu 

repars à vélo. 

Si t’as pas de vélo, on pourrait s’en prêter. 

Si t’as besoin de petites roues, on t’aidera pour tes premiers tours de roues. 

On n’est pas contre les dons, vélos foutus, pièces désœuvrées, matériels usés,  coups de main. 

Ça roule ? 

Alors fais tourner l’info. 

 

 

Wolfgang Bendick était en dédicace le Mercredi 21 Avril à partir de 10h00

Le tome 1 "le Berger" sorti en décembre 2019", est épuisé et sera réédité. Suite logique, le tome 2 "le Fromager", annoncé l’an dernier sera présenté et dédicacé le 9 août au stade des 4 vallées à Castillon lors du marché du fromage et du miel, il ne pouvait mieux choisir !

Wolfi raconte : "C’est la suite de l’histoire d’une famille qui s’installe dans une vallée des Pyrénées, la Bellongue, sur les hauts d’Augirein afin d’y vivre une vie simple, en accord avec la nature. Il raconte les difficultés d’une telle vie mais aussi le bonheur qu’elle peut procurer. "Qu’est-ce qu’ils sont courageux !" disaient souvent les gens quand ils parlaient de nous. Mais c’était plutôt notre manque de savoir que notre courage qui nous avait amené ici. Notre entêtement et la conviction d’une vie possible à cet endroit nous ont permis de tenir bon malgré tout. Nous nous sommes lancés dans la fabrication du fromage et vite appris à en faire du bon et cette réputation nous a donné un nouvel élan."

L’auteur poursuit : "Nous allions transformer notre ferme en un jardin d’Eden ! D’année en année les versants devenaient plus verts et après vingt ans, les fougères ont cessé de résister à nos efforts ! Mais nous étions aussi sollicités autour de nous, tirés de notre vie d’ermites, nous sommes devenus petit à petit une partie de la commune."

Ce livre donne des conseils précieux sur la vie quotidienne d’une ferme de montagne, sur les problèmes rencontrés avec les animaux ou avec la technique et surtout sur la fabrication du fromage. Le 3e tome est en préparation. "Le Paysan Bâtisseur" paraîtra début 2021, une autre facette de leur expérience de vie dans ce milieu.

 

 

Rejet du port du masque : une interpellation sur le marché du Mas-d’Azil en Ariège

Le marché du Mas-d’Azil est l’un des plus fréquentés en basse Ariège. 

Si le soleil et une certaine douceur tendent les chalands à prendre la vie plus légèrement, il reste que le port du masque est toujours obligatoire sur tous les marchés du département de l’Ariège. Et la gendarmerie bien présente entre les étals ce mercredi 24 mars matin, au Mas-d’Azil, rappelait à certains comment bien porter le masque, les réfractaires, eux, en étant pour leur frais.

Alors en plus quand la contestation à la loi s’accompagne de noms d’oiseaux en direction des militaires, l’embarquement vers la gendarmerie ne se fait pas attendre. C’est ce qui est arrivé à une jeune femme un peu énervée et malgré les protestations de ses amis. « C’est à cause de ce genre de comportement que l’on risque la fermeture du marché comme à Saint-Girons, se lamente un commerçant, ça nous pend au nez. »

Au secrétariat de la mairie, conseillers et adjoints commentant le petit événement trouvent dommage d’en arriver là. « Le matin, Sébastien (le placier) est obligé de faire la police même auprès de quelques exposants allergiques au masque, en brandissant la menace de fermeture, souligne Anne Fallou secrétaire générale de la mairie du Mas d’Azil. Faut-il rappeler que les cas de Covid-19 explosent sur le territoire ? »

Pour La Dépêche Michel Buc.

Colibri

Créé en 2007 sous l’impulsion de Pierre Rabhi, Cyril Dion et  quelques proches, Colibris se mobilise pour la construction  d’une société écologique et humaine. L’association place le  changement personnel au cœur de sa raison d’être,  

convaincue que la transformation de la société est totalement subordonnée au  changement humain. Colibris s’est donné pour mission d’inspirer, relier et soutenir les  citoyens engagés dans une démarche de transition individuelle et collective. Ensemble, nous dessinons une société où la nature et les humains, interdépendants et  créatifs, sont au cœur de chacune de nos décisions. Notre mouvement se base sur cette  philosophie : chacun peut faire sa part pour bâtir cette société juste et soutenable.  Le mouvement Colibris accompagne donc des citoyennes et citoyens qui agissent ensemble pour créer un mode de vie plus écologique et solidaire dans leurs quartiers, leurs villages,  leurs villes, leurs régions. La transformation de nos sociétés passe par l’action collective  locale mais aussi et surtout par une transition intérieure.  

Comment avons-nous pu en arriver  là? Qu'est-ce qui nous a amenés à  saccager la planète sur laquelle  nous vivons, au point de menacer  notre vie, et celles des autres  espèces? Quels ressorts pouvons  nous trouver, en nous et 

collectivement, dans nos projets,  sur nos territoires, à l'échelle  nationale, pour inverser cette  course mortifère? 

Colibris vous propose, avec le Mooc Transition Intérieure, d'explorer ensemble les chemins du changement : dans notre rapport à nous-même, aux autres et au monde, pour répondre à ces questions fondamentales. Et agir, résolument, pour la transformation de notre culture faite de croissance matérielle indéfinie, exploiteuse de la nature et des humains, en une culture alliée du vivant. 

Vous voulez agir localement ? Rejoignez-nous pour participer aux actions proposées par le  groupe Colibri Couserans , Contact : couserans@colibris-lemouvement.org et sur le marché de Sainte-croix chaque 3ème mercredi du mois 

A bientôt 

le Cercle Coeur Colibri Couserans : Delphine, Isahia, François, Nathalie et Thierry

Michel Oundjian écrivain : L’histoire se déroule en Ariège, dans le Couserans en  2020, pays rude et toujours accroché à ses traditions  pyrénéennes. Julien, berger professionnel, se démène avec  honnêteté pour rendre compatible la cohabitation entre les  différents utilisateurs de cette nature si difficile à comprendre  parfois.  Les ours sont toujours source de danger pour les moutons  de Julien et l’utilisation d’une application permettant de  géolocaliser ce prédateur puissant ne suffit pas à construire un  avenir serein pour le pastoralisme.  Le cadavre d’un homme qu’il a découvert dans une grotte  était porteur d’une sacoche de cuir contenant des documents surprenants, datant de la dernière guerre mondiale… Les recherches effectuées par Julien pour explorer ce  passé si douloureux, conduisent le lecteur à redécouvrir, les  périodes de l’occupation allemande dans le Couserans, mais  aussi d’autres pages d’aventures humaines. Des épisodes  surprenants, seront dénoués petit à petit, au fil des rencontres. L’auteur souhaite, avant toute chose, vous permettre de  passer un agréable moment en compagnie de Julien et de  Gaëlle, sa fiancée. La promenade est parfois épuisante, car la  conduite d’un troupeau requiert une bonne condition physique,  mais la bonté des personnages principaux apporte une sérénité  agréable.  

 

Ce mercredi sur le marché il y avait du monde. En effet en plus du croc’livres qui attire toujours autant de monde et des commerçants plus nombreux les troisièmes mercredi, il y avait aussi l’EHPAD de Fabas qui a tenu un stand du personnel en grève. Rappelons les faits : dans la dépêche du 27 janvier « Lundi après-midi à 14 heures, plusieurs membres du personnel de la maison de retraite la Croix du Sud, à Fabas, ont commencé une grève. En cause : la mise à pied conservatoire (c’est-à-dire sans salaire), selon eux abusive, de deux de leurs collègues ». Sur le marché donc les salariés en grève proposaient de faire signer une pétition que vous pouvez aussi trouver sur le site charge.org soutien-au-salarie-de lehpad fabas et la cagnotte facebook+leetchi Cagnotte solidaire pour les salariés de l’EHPAD de Fabas en grève.

ESPACE NON MARCHAND

 

 

L'association Au coeur du lien re-organise l'espace non marchand sous le regard bienveillant du marché de Sainte-Croix, 1 fois par trimestre, le 3ème mercredi des mois de février, mai, août et novembre 2021.

 

Nous nous chargeons de la mise en place et nous ramènerons ce qu'il reste en fin de marché soit dans un local pour mise à disposition, soit à la ressourcerie de Cazères le jeudi matin, soit a la gratuiterie de Mazères du salat.

 

Commençons peut être à réfléchir ensemble à un nouvel espace de don au sens large, adapté à ce que nous vivons et qui ne concernerait pas seulement nos vieilleries destinées au recyclage mais aussi nos ressources, nos productions, créations ou services ..... que nous pourrions envisager de mutualiser dans un réseau local.


Bienvenues donc pour rejoindre l'espace non marchand du marché de Sainte- Croix Volvestre, bienvenues à mettre au centre ce que vous avez en trop et à y prendre ce dont vous avez besoin si c'est là.

N' hésitez plus à donner sans prendre,à prendre sans compter, à donner sans pitié ou à prendre sans donner.........."

Mercredi matin le député Michel Larive et son attachée parlementaire Anaïs Souquet étaient sur le marché.

 

 Michel Oundjian écrit la suite de L’Ours et le berger, il sera sur le marché le mercredi 17 mars à 10h00
ABONNÉ
  •  
Après le succès de son premier roman, "L’ours du berger", paru en début d’année, Michel Oundjian a repris sa plume pour livrer à ses lecteurs "Ariège terre partage". Au fil des pages, le lecteur plongera au cœur du Couserans d’hier et d’aujourd’hui, à l’époque de l’occupation allemande mais aussi dans d’autres aventures humaines contemporaines. En compagnie de Julien, berger professionnel et de sa fiancée Gaëlle, des épisodes surprenants seront dévoilés petit à petit, au fil des rencontres.

Ce roman est-il la suite de l’ours du berger ?

Je ne pensais pas écrire une suite mais j’avais créé avec mon personnage de Julien un élément de curiosité que j’étais en devoir de satisfaire. À l’issue de mon premier roman, mes lecteurs se demandaient qui était le cadavre trouvé dans la grotte secrète où Julien souhaitait abriter une ourse. À ses côtés, il y avait une sacoche de cuir contenant des documents surprenants, datant de la dernière guerre mondiale. Lorsque je suis arrivé de Savoie pour vivre à Saint-Girons en 1975, je me demandais comment la vie se déroulait pendant l’occupation. À cette époque, j’ai connu un monsieur qui travaillait pour les services secrets, je l’ai appris le jour de son enterrement. Dans mon livre, je lui rends hommage à ma façon, tout en préservant l’anonymat. Ariège terre partage est une suite mais présentée différemment, je l’ai découpée en paragraphes, ce que je n’avais pas pu faire pour "L’ours du berger".

Pourquoi avoir choisi le titre Terre partage ?

Je suis fils d’immigrés arméniens, j’ai souhaité consacrer un paragraphe à narrer l’arrivée en France de mes parents. Nous avons toujours été bien intégrés, éduqués dans les règles du respect du pays qui nous avait tendu la main. Cette terre partage est pour moi un symbole, je me sens terriblement ariégeois, ma famille vit ici aussi.

Où peut-on se procurer le roman ?

Il est disponible dans tout le département, dans les librairies ariégeoises et dans les points presse, je le distribue à compte d’auteur. Coordonnées : oundjian.michel@orange.fr

Fabienne Poryadjian

AG Marché 2020-2021

 Article effacé à la demande du CA de l'association du marché ! (voir ci dessous)

Mot du président, José Clivilllé Bon dia à tous...  Article effacé

BILAN DES ACTIVITÉS 2020...

AAC 2021-30 janvier AG virtuelle du Marché de Ste Croix 1/5 Activités annulées à cause de la COVID Article effacé

AAC 2021-30 janvier AG virtuelle du Marché de Ste Croix 2/5 Momo : Dédicaces d’auteurs par Franck  Article effacé

AAC 2021-30 janvier AG virtuelle du Marché de Ste Croix 3/5 
BILAN DES ACTIVITÉS
 Article effacé

AAC 2021-30 janvier AG virtuelle du Marché de Ste Croix ...
4/5 - Il y a une vraie demande pour multiplier les rendez-vous d’espaces non-marchands ...Article effacé etc etc. 

Le mot de momo :  Salut l'artiste ! Bon alors tu as encore fait des tiennes avec tes diffusions précipitées ?? 😉 Ce que tu as fait passer sur ton site à propos de l'AG du marché n'est qu'un compte rendu adressé aux membres de l'asso (et uniquement à eux) pour vote et approbation en attendant éventuelles modifs et diffusion plus officielle, cela n'a donc rien à faire sur ton site pour le moment....certain(e)s s'étranglent ici..😋.je reste plus mesuré mais avoue que c'est une autre bourde comme tu en as parfois le secret..😅 je te demande donc au nom de l'équipe du ca de bien vouloir retirer cet article non officiel du marché de ton site pour le moment en attendant le compte rendu définitif...Au fait pourquoi n'es tu pas venu à l'AG ?? Nous voulions te proposer de garder la fonction d'organisation des dédicaces pour laquelle tu es tip-top ze best !! 🙂...qu'en dis tu ?

 

 

Des Pyrènes sur le marché

- Au niveau national les monnaies locales complémentaires et citoyennes se développent bien, et l'actualité a bien aidé la compréhension de leur pertinence. 80 monnaies locales sont aujourd'hui en circulation et certaines se sont vraiment inscrites sur leur territoire quand elles sont soutenues politiquement...

- Au niveau Ariège, Tourtrol, est la première municipalité à adhérer à l’association Monnaie 09 et devrait bientôt être rejointe par d'autres. Un adjoint municipal de cette commune sera indemnisé en Pyrènes, ce qui témoigne aussi de l'implication des trésoreries... Par ailleurs le PNR confirme son intérêt à soutenir notre monnaie locale, et accompagne déjà la nécessaire professionnalisation de Monnaie09 (modèle économique ambitieux, développement d'un Pyrène numérique...).

- Au niveau local, un Groupe Local Volvestre s'est récemment constitué qui sera de plus en plus visible sur le marché. Il est vraiment question de définir chez nous, pour nous et par nous ce qui doit être développé en terme de solidarités, de liens, de communs... pour un "monde d'après" plus enthousiasmant et respectueux du vivant. le point Pyrènes pour les adhérents du marché de Ste Croix est présent le 3ème mercredi du mois sur la place du village.

D'autres acteurs locaux défendent des valeurs très similaires, avec d'autres approches et d'autres outils. Le GL M09-Volvestre est très désireux d'avancer ensemble.

Comme à chaque veille de Noël, le marché de Sainte-Croix, via l’association, organise le marché en fête. A cette occasion, les commerçants proposaient des produits festifs pour les réveillons de fin d’année, la plupart issus des circuits courts locaux, qu’ils soient alimentaires ou artisanaux.
Durant la matinée le groupe Ramon Monteca venu du Couserans et du comminge a joué durant 2 heures de la musique entre compo et reprises de chansons françaises sur le marché.
Cette journée ensoleillée par moment fraîche mais conviviale a permis de rencontrer de nombreuses personnes et découvrir les artistes, les artisans  les producteurs locaux et aussi avec le croc’livres de découvrir des auteurs littéraires, cet espace permet d'échanger nos livres et ce, tous les 3èmes mercredi de chaque mois.
Toutes les personnes intéressées sont les bienvenues à l’assemblée générale qui se déroulera le samedi 30 janvier, à 17 heures, à la salle des associations.
Les dédicaces du troisième mercredi du mois reprendront sur le marché en mars prochain. Les auteurs qui souhaitent s’inscrire peuvent contacter le 06 43 20 87 93.

 

Les pyrènes sur le marché

 

 

Les quelques lignes que vous ne pourrez pas lire dans l'édito de la "feuille de chou" que j'ai signé 

"Sur cette place depuis 15 ans, après sa création, par des nouveaux arrivants, qui fréquente le marché ? Des néo ruraux en majorité, mais où sont donc passés les autochtones ? Et bien la plupart vont à Cazères ou Saint Girons dans les supermarchés, en délaissant cet espace près de chez eux. La raison la plus évoquée, les prix pratiqués sur le marché. Comment peuvent-ils connaître les prix s'ils ne viennent pas au marché ou s’ils n’achètent pas ? En favorisant le marché, on aide les producteurs locaux et on fait fonctionner les circuits courts !"

Ces quelques lignes n'ont pas plu à la feuille du marché qui les a retiré sous prétexte que cela ferait de la provoc et nuirait au bon déroulement de l'espace économique du mercredi. Il ne faudrait donc pas diviser mais plutôt rassembler. En fait, si on ne dit mot, comment voulez vous que les autochtones viennent au marché ? Faudrait leur rappeler de temps en temps que cet endroit est aussi le leur ! Un espace pour tous. Heureusement il y a les nouveaux arrivants. Résultats et constatation, une partie des autochtones du village et d'ailleurs, ne veulent pas se mélanger à cette nouvelle population !

Franck

 

John Jennings  est anglais et il vit en vallée d'AX. Il vient chaque mercredi depuis ce mois décembre sur le marché hebdomadaire. John a circulé sur les différents continents et s'est arrêté en Ariège. En effet, il a des amis ici et est un amoureux des montagnes ariégeoises. Il a une formation en cuisine. John propose des truites confites au sel et marinées aux herbes aromatiques des montagnes ariégeoises. Ces truites d"élevages viennent des Cabannes et sont transformées par John. Il propose aussi des sushis de truites fait maison avec ses sauces pimentées. Pour contacter John Jennings appelez le : 06 41 55 06 09

 

Jean-Paul Ferré est professeur d’Occitan et d’Histoire-Géographie. Il est aussi très impliqué dans la collecte et la diffusion du patrimoine culturel immatériel en Comminges et Couserans au sein d’Eth Ostau Comengés. Auteur de films ethnographiques, de recueils de contes, d’un livret sur la fête de la Saint-Jean et d’un livre intitulé Ceux de Betchat dans la Grande Guerre, il est à l’origine de la mallette pédagogique Conda’m eth Coserans dont le présent ouvrage est le prolongement. Il est venu pour une dédicace avec plusieurs ouvrages qu'il a vendu sur le marché et fait connaissance de ce cet espace économique au coeur du village. "J'ai bien apprécié cette matinée ainsi que l'ambiance qui règne sur le marché!" Il faut dire que la matinée fut un succès avec le Croc'Livres et l'espace non marchand qui a attiré beaucoup de monde durant ces vacances de la Toussaint.

 

Le service déchets de la communauté de communes est venu sur le marché pour organiser une matinée de sensibilisation compostage trie, recyclage pour réduire nos déchets. Sur le marché du village Brice et Laetitia sont venus avec un modèle de composteur vendu 22€ "mon composteur mange équilibré" avec brochures à l’appui. Ils ont répondu aux questions des visiteurs tout en faisant des démonstrations de l'utilité d'un composteur dans son jardin.

Un équilibre entre azote et carbone, d’une part les déchets humides (résidus fruits et légumes, reste de repas, coquille d’œuf, marc de café, sachets de thé, tonte de pelouse, pissenlits), de l’autre les déchets secs (paille, foin, feuilles mortes, brindilles sèches, sciure et copeaux, broyat de branches ou d’écorces, papier toilette, carton ou papier déchiquetés). On a pu aussi se familiariser avec le broyat. Il faut savoir qu'un engin de broyage est à disposition des communes, il suffit de le réserver en contactant la CCCP. Cet outil permet aux municipalités de broyer sur place les végétaux et ensuite de les épandre au pieds des plantations dans le village, arbres, espaces verts etc. C'était une belle matinée qui sentait bon la verdure.

Renseignements : 05.61.66.69.66 couserans-pyrenees.fr

 

 

Espace non-marchand du marché du 21 octobre 2020

STOP AU GASPILLAGE EN FAISANT PLAISIR ! Donnez sans compter, prenez sans payer ! On ne jette pas, ON DONNE Allégeons-nous, en faisant le tri de nos placards. Imaginons la seconde vie que pourraient avoir auprès d’une autre personne, objets divers ou vêtements que nous n’utilisons plus* ON PREND, sans contre-partie financière, ce qui peut nous servir ou nous faire simplement plaisir. A la fin du marché, des petites mains étaient les bienvenues pour remballer ce qui reste et le porter à la ressourcerie (recobrada) de Cazères. 

 

Après avoir travaillé pendant 25 ans dans les Arts Graphiques, "Gabor" a quitté la région parisienne pour venir s’installer en Ariège, y retrouver quelques racines pour se consacrer entièrement à sa passion, l'aquarelle, l'écriture et le dessin.
Artiste peintre depuis 2007, elle participe à de nombreux salons et expositions, ainsi qu'à des dédicaces sur les marchés et en librairie.
Elle réalise des livres jeunesse à l’aquarelle (2-7 ans) dont le dernier, Bidouille et les quatre saisons, vient de sortir et qu'elle dédicacé ce mercredi. « Bidouille est un petit personnage attachant qui découvre les saisons, le temps qui passe. Il rencontre son premier ami, l’arbre, avec lequel il va partager ses aventures et se rendre compte combien il lui est précieux. " J'ai passé deux belles heures sur ce marché que je ne connaissais pas. Je tiens à féliciter les organisateurs pour cette invitation sur ce marché dynamique et sympathique. J'y reviendrais !

Port du masque obligatoire sur le marché !

PRÉFET DE L'ARIÈGE 

PRÉFECTURE Cabinet de la préfète 

Service des sécurités Bureau de la sécurité civile 

Liberté Égalité Fraternité 

Courriel : pref-defense-protection-civile@ariege.gouv.fr 

Arrêté préfectoral règlementant le port du masque pour les personnes de onze ans 

et plus au sein des marchés de plein vent, foires, brocantes et vide-greniers ainsi qu'aux abords des établissements scolaires du département de l'Ariège 

La préfète de l'Ariège Chevalier de la légion d'honneur Chevalier de l'ordre national du mérite 

 

2 rue de la Préfecture - Préfet Claude - Erignac B.P. 40087 - 09007 Foix Cedex Tél : 05 61 02 10 00 

Site internet: www.ariege.gouv.fr 

Considérant que l'affluence devant les établissements scolaires du département, aux heures de rentrée et de sortie des classes, ne permet pas de garantir le respect de la distanciation sociale prévue par l'article fer du décret du 10 juillet 2020; Considérant l'urgence et la nécessité qui s'attachent à la prévention de tout comportement de nature à augmenter ou à favoriser les risques de contagion, en particulier dans l'espace public à forte fréquentation et, par suite, propices à la circulation du virus ; qu'en outre, une hausse des contaminations et un afflux massif de patients seraient de nature à détériorer les capacités d'accueil du système médical départemental; Considérant que l'intérêt de la santé publique justifie de prendre des mesures proportionnées aux risques encourus et appropriées aux circonstances afin de prévenir et limiter les consé quences et les menaces possibles sur la santé de la population; Considérant qu'il appartient au préfet de prévenir les risques de propagation des infections par des mesures adaptées, nécessaires et proportionnées; Considérant que le port du masque obligatoire, pour les personnes de onze ans et plus, dans l'espace public, constitue une mesure de nature à limiter le risque de circulation du virus; Considérant que, dans ces circonstances, il y a lieu de rendre obligatoire le port du masque au sein des marchés de plein vent, foires, brocantes et vide-greniers ainsi qu'aux abords des établis sements scolaires du département de l'Ariège; Considérant les consultations menées auprès du président de l'Association des Maires de France; Sur proposition du directeur des services du Cabinet; 

ARRÊTE 

Article 1 : À compter du samedi 12 septembre 2020 jusqu'au jeudi 15 octobre 2020 inclus, le port du masque sanitaire est obligatoire, pour les personnes de onze ans et plus, au sein des marchés de plein vent, foires, brocantes et vide-greniers organisés dans le département de l'Ariège. Article 2 : À compter du samedi 12 septembre 2020 jusqu'au jeudi 15 octobre 2020 inclus, le port du masque sanitaire est obligatoire, pour les personnes de onze ans et plus, dans les es paces publics compris dans un périmètre de 50 mètres autour des établissements scolaires du département de l'Ariège. Article 3 : L'obligation du port du masque prévue au présent arrêté ne s'applique pas aux per sonnes en situation de handicap munies d'un certificat médical justifiant de cette dérogation et qui mettent en oeuvre les mesures sanitaires, définies en annexe du décret n° 2020-860 du 10 juillet 2020, de nature à prévenir la propagation du virus. Article 4 : Conformément aux dispositions du VII de l'article 1er de la loi n° 2020-856 du 9 juillet 2020 susvisée, la violation des mesures prévues par le présent arrêté est punie de l'amende pré vue pour les contraventions de 4e classe (135 euros) et, en cas de récidive dans les 15 jours, d'une amende prévue pour les contraventions de 5e classe ou en cas de violation à plus de trois re prises dans un délai de trente jours, de six mois d'emprisonnement et à 3750 euros d'amende, ainsi que de la peine complémentaire de travail d'intérêt général; Article 5: Conformément aux dispositions des articles R 421-1 à R 421-5 du code de justice admi nistrative, le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux devant le tribunal admi nistratif de Toulouse, dans le délai de deux mois à compter de sa notification ou de sa publica tion, Le tribunal administratif peut être saisi par l'application informatique « Télérecours citoyens » accessible par le site internet www.telerecours.fr

Article 6 : Les maires du département sont chargés de la publicité et de l'affichage des disposi tions du présent arrêté

Article 7: Le directeur des services du Cabinet, les mairesdu département, le directeur départe mental de la sécurité publique, le commandant du groupement de gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil dépar temental des actes administratifs de la préfecture.

Les quilles au maillet : un patrimoine à transmettre.

Chaque mercredi Nicole Couzinet qui vient de Thouars sur Arize passe la matinée au marché pour une  initiation de quilles au maillet. Ce sport du sud ouest a été  relancée dans les années 80 par le Foyer Rural intercommunal de Sainte-Croix. Cette renaissance du jeu de quilles au maillet, comme sport d'équipe a débuté par l'organisation de challenges et de nombreuses animations sportives conviviales. Cette activité est accessibles à tous. Après la création du marché, il y a 15 ans, les adeptes viennent chaque mercredi se lancer des défis durant la matinée et arrivent à trouver de nouveaux joueurs. Cependant, aujourd'hui il n'y a plus grand monde, mais Nicole est toujours la pour vous initier et donner l'envie aux plus jeunes d'essayer ce sport.  Alors venez faire vos courses et profitez en pour découvrir ce sport rural.

Marché de Montbrun Bocage :

Le maire mis en demeure !

 

Le marché de Montbrun-Bocage est ouvert tous les dimanches matin. Un des marchés de la région les plus suivis qui propose des produits alimentaires locaux et de l’artisanat. Le mercredi 26 août 2020, Monsieur le maire Christian Seneclauze, s’est vu remettre à son domicile par un gendarme une mise en demeure émanant de la sous-préfecture, pour motifs : "J’ai reçu un rapport administratif établi par les services de la compagnie de gendarmerie départementale de Muret qui sont intervenus les dimanches 16 et 23 août 2020 sur le marché de votre commune. Il en ressort que lors de ces interventions, la majeure partie des personnes présentes (commerçants et clients) ne portaient pas de masques. Le port du masque était d’ailleurs contesté à travers la distribution de tracts et des affiches sur le marché […] Un prochain manquement au respect du port du masque et des gestes barrières sur le marché de Montbrun-Bocage pourraient entraîner une décision de fermeture conformément à la réglementation en vigueur".

"En presque 13 ans de mandat, c’est la première fois que cela m’arrive, ce qui indique la gravité de la situation", rappelle Christian Seneclauze sur son blog.

"Grâce à la mobilisation des conseillers municipaux, nous avons eu une dérogation pour ouvrir le marché durant le confinement ; après il a été l’un des premiers à rouvrir. Nous n’avons d’ailleurs pas hésité à changer le marché de place pour assurer une plus grande sécurité sanitaire tant aux clients qu’aux exposants. Ce serait regrettable que nous soyons l’un des premiers à être interdit. Tout le monde, clients et exposants, doit porter le masque sur le marché, vous avez le droit de penser, de dire ou d’écrire que c’est stupide et inutile, mais vous n’avez pas le choix." insiste-t-il.

"L’option qui consiste à ne mettre le masque que lorsque les gendarmes sont présents n’est pas une option valable ; vous pouvez faire glisser votre masque lorsque vous fumez une cigarette, pour boire, pour manger mais le reste du temps, vous devez le porter en permanence dès lors que vous êtes dans le périmètre du marché.

"Aujourd’hui chacun devra prendre ses responsabilités car soyez certains qu’il y aura un contrôle", espère le maire.

 Izabel Teil

Depuis le 25 août, le maire de la commune de Montbrun-Bocage a été mis en demeure par la sous-préfecture de Muret pour "non-respect des mesures sanitaires et de distanciation sociale dans les marchés de plein vent». Les usagers de son marché dominical atypique ne sont pas tous d'accord.

Masque ou pas masque? La question fait largement débat au sein de la population – à peine 500 âmes – du petit village haut-garonnais de Montbrun-Bocage, à la frontière de l’Ariège, frappé d’une mise en demeure de respecter le protocole sanitaire en vigueur. Tous les dimanches, son petit marché « alternatif », qui mêle alimentation bio, artisanat, musiciens, attire une clientèle éclectique pas toujours encline à répondre au port du masque obligatoire dans les marchés de plein vent en Haute-Garonne. Ce dimanche 30 août, 10 heures, les gendarmes sont revenus faire une piqûre de rappel.

«Ils étaient déjà là dimanche dernier, peste Jeanne, une retraitée de Montbrun-Bocage. Le masque, je le mets car je n’ai pas envie de payer 135 euros».

Affichée sur de nombreux stands, la lettre ouverte d’un Montbrunais atterré à la sous-préfecture de Muret dénonce « un odieux chantage » et « un marché pris en otage » où «l’on renvoie les gens les uns contre les autres ».

A lire aussi : La Haute-Garonne en zone rouge : comment en est-on arrivé là ?

Depuis le 25 août, le maire de la commune a en effet été rappelé à l’ordre par la sous-préfecture sous la forme d’une « mise en demeure pour non-respect des mesures sanitaires et de distanciation sociale dans les marchés de plein vent ». La sous-préfecture menace même l’élu d’une « fermeture conformément à la réglementation en vigueur », dans le cas «d’un prochain manquement au respect du port du masque et des gestes barrières».

Sur son blog communal, le maire Christian Seneclauze appelle à « la responsabilité de chacun » sur le marché. Il s’explique en substance:

«Grâce à la mobilisation intense des conseillers municipaux, nous avons pu obtenir une dérogation pour ouvrir le marché de façon limitée durant le confinement et après le confinement, le marché de Montbrun a été l’un des premiers à rouvrir […] Ce serait regrettable qu’après avoir été l’un des premiers à rouvrir, nous soyons l’un des premiers à être interdit. »

" Wolfi", était en dédicace ce Mercredi 5 Août de 10h à 12h avec ses ouvrages 

 

L'auteur Couserannais était présent sur le marché du mercredi où il présentait le tome 1 des néo ruraux intitulé le berger. Ce livre raconte l'arrivée d'une jeune famille venue d’Allemagne avec deux gamins (Emmanuel et Sarah) qui s'installe dans une petite vallée des Pyrénées. Cette famille s’installe (en 1979) une vingtaine d'hectares de friches pentues avec une maison en ruine, sans accès, dans une petite vallée latérale de la Bellongue, pas loin de Castillon en Couserans, en Ariège. Le maire de l'époque, lui demande s’occuper des chemins dans la commune. Il devient alors cantonnier, puis, au premier décès, aussi fossoyeur. Ces travaux le rapprochent encore plus des gens du village, qui, ensuite, lui demandent toutes sortes de services, bien sûr contre rémunération, n'ayant pas d'autres jeunes mains disponibles !

Ce premier opus « Le berger » en appelle d'autres. Le second tome « Le fromager » vient tout juste de sortir et présenté à Castillon lors du marché au miel et fromages de Pyrénées ! Durant le marché de Sainte-Croix « Wolfi » a rencontré beaucoup d'amateurs de littérature eux aussi néo ruraux ! Il reviendra ces prochains mois pour présenter ce second ouvrage mais avant il va finaliser le troisième tome « Le paysans bâtisseur ». L'auteur tient à remercier le marché pour son invitation à cette dédicace qui était sa troisième sur la place du village depuis que le marché existe.

 

Le tome 1 "le Berger" sorti en décembre 2019", est épuisé et sera réédité. Suite logique, le tome 2 "le Fromager", annoncé l’an dernier sera présenté et dédicacé le 9 août au stade des 4 vallées à Castillon lors du marché du fromage et du miel, il ne pouvait mieux choisir !

Wolfi raconte : "C’est la suite de l’histoire d’une famille qui s’installe dans une vallée des Pyrénées, la Bellongue, sur les hauts d’Augirein afin d’y vivre une vie simple, en accord avec la nature. Il raconte les difficultés d’une telle vie mais aussi le bonheur qu’elle peut procurer. "Qu’est-ce qu’ils sont courageux !" disaient souvent les gens quand ils parlaient de nous. Mais c’était plutôt notre manque de savoir que notre courage qui nous avait amené ici. Notre entêtement et la conviction d’une vie possible à cet endroit nous ont permis de tenir bon malgré tout. Nous nous sommes lancés dans la fabrication du fromage et vite appris à en faire du bon et cette réputation nous a donné un nouvel élan."

L’auteur poursuit : "Nous allions transformer notre ferme en un jardin d’Eden ! D’année en année les versants devenaient plus verts et après vingt ans, les fougères ont cessé de résister à nos efforts ! Mais nous étions aussi sollicités autour de nous, tirés de notre vie d’ermites, nous sommes devenus petit à petit une partie de la commune."

Ce livre donne des conseils précieux sur la vie quotidienne d’une ferme de montagne, sur les problèmes rencontrés avec les animaux ou avec la technique et surtout sur la fabrication du fromage. Le 3e tome est en préparation. "Le Paysan Bâtisseur" paraîtra début 2021, une autre facette de leur expérience de vie dans ce milieu.

 

Après avoir parcouru les routes de Katmandou et de la sagesse, nous, une jeune famille venue d’Allemagne avec deux gamins s’installe dans une petite vallée des Pyrénées. Le hasard nous a fait trouver (en 1979) une vingtaine d’hectares de friches pentues avec une maison en ruine, sans accès, dans une petite vallée latérale de la Bellongue, pas loin de Castillon, en Ariège. Venant des Alpes, la montagne ne nous est pas totalement inconnue. Par contre, le climat d’ici, oui.

La population autochtone, n’ayant pas vu d’Allemands depuis la guerre, nous a plutôt bien accueilli, avec beaucoup de curiosité. Bien sûr, les bergers nous espionnent avec leurs jumelles et les ragots vont bon train. Tous se sont demandé pourquoi tant de jeunes, et surtout des Allemands, s’installent sur des terres abandonnées, essayant de faire un travail qui normalement passe de père en fils et que plus personne ne veut faire. Bientôt une famille du village, qui possède des terres à côté de chez nous, nous demande un coup de main pour les aider à faire le foin, en échange de fourrage pour nos premières bêtes.

Le premier été est très sec et vite nous nous rendons compte que les Pyrénées ne sont pas les Alpes. En plus, à la place de l’herbe, il n’y a que des fougères qui poussent dans les prés et qui ne se laissent pas intimider par notre motofaucheuse. Un orage emporte la route. Je donne un coup de main à la commune pour la remise en état. Le maire me demande ensuite si je veux m’occuper des chemins dans la commune. Je deviens alors cantonnier, puis, au premier décès, aussi fossoyeur. Ces travaux me rapprochent encore plus des gens du village, qui, ensuite, me demandent toutes sortes de services, bien sûr contre rémunération, n’ayant pas d’autres jeunes mains disponibles. Ainsi nous pouvons survivre les premières années.

Sur le conseil des paysans, nous échangeons nos quelques vaches contre des brebis et pratiquons avec eux la transhumance. Mais hélas, l’état sanitaire des troupeaux n’étant pas excellent, j’attrape la fièvre de Malte en estive, qui met presque une fin à nos efforts d’installation. Petit à petit nous apprenons aussi l’existence des administrations agricoles et leur rôle, en général favorables aux jeunes agriculteurs avec leurs aides et conseils. Sur les foires et les marchés nous nous rendons compte que nous ne sommes pas les seuls néo-ruraux, comme on nous appelle, mais que dans chaque vallée il y a d’autres familles ou communautés qui essayent le retour à la terre, comme nous. De nouveaux liens se tissent, les enfants aussi se font des amis, vont bientôt à l’école. Et nous aussi, nous retournons à l’école, Doris pour passer le BPA, son brevet et moi pour apprendre à faire du fromage.

Un troisième enfant nait à la maison, nous laissons brancher l’électricité. Est-ce une trahison de nos principes ? Un peu partout d’autres jeunes s’installent, d’autres enfants naissent, les vallées et surtout les pentes se repeuplent, des tipis apparaissent, des granges se retapent un peu partout.

Mais nos expériences vécues nous font bientôt abandonner l’élevage de brebis et ce système trop basé sur les aides publiques, pour nous mettre à fabriquer du fromage et du miel, des produits de la ferme, qui trouvent de plus en plus d’amateurs.

Nous avons bien appris des anciens comment survivre sur ces pentes. Mais comment y vivre à l’avenir, ce sera à nous de l’imaginer…

En même temps ce livre doit être un hymne à ces vallées reculées et de son peuple, ses petites et grandes histoires, son (agri)-culture millénaire, qui se terminait pendant que nous nous efforcions d’apprendre des derniers habitants âgés les gestes si essentiels de la vie. Les temps se sont mutés et nous lentement avec eux, afin de pouvoir survivre en restant sur l’endroit que le destin nous a donné, en restant fidèle aux valeurs universelles.


Après les deux tomes de «Hippie Trail» en 2016, qui racontent une partie de sa vie, faite de voyages, jusqu'à son arrivée en Ariège, en 1979, dans cette ferme du Pourtérès en ruine, sur les hauts d'Augirein, dans la vallée de la Bellongue, Wolfgang Bendick avait écrit une suite.

Il s'agissait d'un roman autobiographique, «La vie est verte ou vivre simplement et différemment», encore en deux tomes, sorti en 2018. Il y raconte comment et pourquoi, avec sa famille, en 1974, il est parti à travers l'Allemagne de l'Ouest puis la France pour finalement se fixer en Ariège.

Cette fois, Wolfgang Bendick va publier une suite qui portera sur son expérience vécue lorsqu'il s'est établi dans cette ferme du Pourtérès. Cette suite est intitulée «Les Rêveurs des Pyrénées» ou les «Néo-ruraux» ou encore «Le Petit Livre sur la vie à la campagne». Il s'agit d'un premier tome, «Le Berger», de 665 pages. Deux autres suivront, avec «Le Fromager» – ses fromages sont connus dans toute l'Ariège et «Wolfi» est président de l'association Fromages et miels des Pyrénées – et «Le Paysan bâtisseur», mais le titre reste à confirmer.

C'est l'histoire d'une famille qui s'installe dans la vallée de la Bellongue afin d'y mener une vie simple, en accord avec la nature. La difficulté d'une telle vie y est décrite, mais aussi le bonheur qu'elle peut procurer. L'auteur y donne des conseils, des astuces pour ceux qui veulent s'installer, toute une expérience transmise à travers ces pages.

En fin d'ouvrage, il y a toute une liste de mots-clés : un récapitulatif, avec la référence des pages, qui permet de retrouver le passage en question. Par exemple : abeilles, dressage chien, bâtiments, abattage du bois, estives, brebis… Un livre fort utile aux néo-ruraux qui veulent s'installer en montagne. La parution du «Rêveur des Pyrénées» est prévue courant 2019. Wolfgang espère trouver un éditeur local pour publier son nouvel ouvrage.

 

En même temps que son œuvre sur les néoruraux , Wolfgang Bendick publie un ouvrage concernant ses expériences sur sa navigation sur les lacs en Allemagne, en France et en Espagne. En effet, quel plaisancier ne rêve pas de naviguer sur d’autres lacs avec son voilier et même sur mer !

Dans sa jeunesse, après une enfance sur l’eau, l’auteur a, sur des cargos, navigué à travers tous les océans. Ensuite, avec des moyens modestes, il a effectué plusieurs voyages terrestres autour du globe (voir "La Route des hippies") puis il s’est installé, avec sa famille, comme paysan dans les Pyrénées (voir "Les Néoruraux"). Maintenant à la retraite, il découvre à nouveau la voile, son bateau est devenu son lieu de travail flottant. Ce onzième livre relate donc ses différents voyages, d’abord dans un habitacle de 17 pieds, puis à bord d’un 20 pieds, sur les lacs en Europe. Petit à petit, voilier et skipper se sont habitués à ces conditions, s’y sont adaptés par des modifications du gréement, de l’équipement et du comportement. Ce récit ne se contente donc pas de transmettre les joies de la navigation mais il donne en même temps des conseils pratiques pour ramener bateau et skipper à bon port. Comme dans les livres précédents, il parle des petites joies du quotidien, qui, finalement, contiennent le grand bonheur.

Éditions Acala (Association de création artistique et littéraire de l’Ariège et Midi-Pyrénées).

Ramon Manteca est un groupe de musique du Comminge et du Couserans en Occitanie variant entre Chanson Française et reprise Rumba-Latina/Rumba-Flamenca Ramon Manteca c'est un jeu de mot (Jamon Manteca (mantequilla) = jambon beurre. Tous musiciens de rue, on s'est rencontrés au bar d'Encausse les Thermes au temps où il y avait des scènes ouvertes (maintenant le patron a changé et c'est fini.) On a commencé à jouer régulièrement sur le marché d'Aspet puis on élargi notre espace vital pour aller sur d'autres marchés dont celui de Saint-Girons qui est génial. On va aussi régulièrement à Cazères, Montbrun, Mas d'Azil, Engomer…. On aime jouer dans la rue mais on est souvent aussi engagés pour d'autres manifestations. à chaque fois, ce sont des gens qui nous ont entendu sur les marchés qui nous recrutent. On joue de la rumba flamenca (style gypsys kings). On fait des reprises célèbres, on a des compos mais on n'ose pas encore les jouer à cause qu'on est timides. Ramon Manteca existe depuis un peu plus de deux ans. Nous sommes quatre musiciens : Gaelle, chant et guitare rythmique Thierry Guitare solo Cyril au cajon Lucie à la basse (nouvelle venue)

Sur le marché hier mercredi 15 Juillet 2020

J’ai le plaisir de vous annoncer la sortie de mon roman, L'ours du berger aux Editions ACALA afin de présenter une solution qui pourrait aplanir beaucoup de difficultés dans nos Pyrénées. 
Retraité, chasseur et aimant le consensus, Il m'est agréable de conduire le lecteur au cœur de mon roman par le partage d'une histoire qui se déroule en Ariège et en Couserans plus particulièrement. Je suis persuadé que vous pourrez pleinement partager l'objectif d'apaisement qu'il poursuit et ainsi prolonger son action . Mon souhait le plus sincère, est de permettre à tous les utilisateurs que nous sommes de trouver un moyen de partager notre nature sans s'affronter et avec respect.
Ce roman est un message d’espoir qui peut prendre naissance raisonnablement pour peu que nous puissions prendre le temps de nous écouter et de faire un pas les uns vers les autres.  
Nos Pyrénées nous sont confiées pour êtres transmises aux générations futures et si nous pouvions faire un petit effort pour qu'elles soient encore plus belles nous devrions pouvoir y arriver. 
Ce roman apporte une piste de réflexion vers ce devenir et serai très heureux que vous puissiez y donner un prolongement utile. Si vous pouviez, avec l'aide de vos amis, participer à la mise en œuvre d'une solution aux problèmes qui opposent bergers, chasseurs aux autres utilisateurs de nos campagne j'en serai vraiment très fier.
En août 2019 un dérochement en Ariège a entraîné la mort de 46 brebis sur une Estive proche de Saint-Girons ; en juillet une autre prédation dû à l'ours a entraîné la mort de 61 brebis. Une indemnisation a été versée dans les deux cas mais le traumatisme des éleveurs est difficile à monnayer. Si l'application, participant à la solution que je présente dans mon roman avait pu être utilisée cela n’aurait pas pu se produire, des économies réalisées et des opposants à la réintroduction ursine rassurés. 
De plus cette application permettrait de sécuriser les actions de chasse vis-à-vis des randonneurs ou des familles qui se promènent en forêt pas simplement dans les Pyrénées mais elle est transposable sur la France entière !
Mais si vous avez le temps de rejoindre Julien, le berger du roman, il se fera un plaisir de vous conduire au cœur du sujet.
Je reste confiant et compte partager ce chemin avec vous si vous le voulez bien.

LITTERATURE        Michel OUNDJIAN dévoile dans ‘’L’ours du berger ‘’ un projet de cohabitation avec l'ours.

Originaire de la Savoie, Michel 0undjian s’est installé en 1975 à Saint-Girons, où, chimiste de formation, il a créé son entreprise de photographie avec le premier laboratoire à l’époque à St Girons de photos couleur. Il vient juste de publier un roman au sujet très actuel L’Ours du berger aux Éditions de l’Acala. Interview.

Pensiez-vous un jour écrire un livre ?
J'aime bien lire, mais mon loisir préféré, après la voile lorsque j’habitais à Aix les Bains, est la pratique du vélo cyclo tourisme. Et à la retraite, un de mes petits-fils étant passionné de chasse, j’ai souhaité passer mon permis de chasser pour connaître ce monde. Cette idée de roman est vraiment fortuite, faisant suite à la rencontre d’un auteur de romans policiers à qui j’avais envoyé par mail la trame de mon manuscrit, pour finalement, sur ses conseils, me laisser emporter par l’histoire.

Pourquoi avoir choisi ce thème délicat de la présence de l’ours en Ariège ?
Né à la ville, j’ai découvert en Ariège la rude vie campagnarde et l’économie de montagne, dans une nature que je suis fier de défendre depuis 45 ans. Je me sens ariégeois, notamment à travers toutes mes relations amicales. J’apprécie la chasse et les chasseurs, j’ai de bons amis opposés à la chasse, je m’adonne à la randonnée et entends souvent les reproches adressés aux chasseurs par les promeneurs. Je fréquente aussi des bergers qui souhaitent vivre de leur travail et je comprends la nécessité de favoriser la biodiversité.

D’où l’idée de développer dans votre roman un projet consensuel…
Effectivement, aimant le consensus et la technologie, je me suis naturellement dirigé vers l’élaboration d’une application sur smartphone qui pourrait traiter la cohabitation de tous ces acteurs qui s’affrontent dans cette nature qui a pourtant besoin de tout le monde pour vivre. Persuadé de sa faisabilité, j’espère que mon roman, après une nécessaire étude technique, permettra l’éclosion d’un tel projet. Utopie, réalisme douteux ? Je suis un optimiste de nature (!), prudent et lucide, mais idéaliste pour que les utilisateurs d’une même nature puissent s’entendre sur des pratiques raisonnables.

Encadré : L’histoire prend naissance en Ariège dans un hameau du Couserans en 2019.  Une famille de bergers s’oppose à tout ce qui fait ombrage à la vie de leurs brebis : l’ours, les chiens errants, les touristes et randonneurs du dimanche. Julien, berger professionnel et chasseur opposé à l’introduction de l’ours, est écartelé entre toutes les problématiques de la biodiversité. C’est lui qui va essayer de réconcilier tous les opposants.

Saint Girons le 17 janvier 2020
                                               
Oundjian Michel

 oundjian.michel@orange.fr

L'histoire prend naissance en Ariège, dans un hameau du Couserans en 2019.
Une famille de bergers lutte contre toutes les infortunes de leur condition.
La vie est rude mais ils vivent libres. Ils sont opposés à tout ce qui fait ombrage à la vie de leurs brebis : l'ours, les chiens errants, les touristes et randonneurs du dimanche qui tombent nez à nez avec leur Patou.
Julien , berger professionnel et chasseur opposé  à l'introduction de l'ours, est écartelé entre toutes les problématiques de la biodiversité.
Existe-t-il une façon de réconcilier tous les opposants en présence ?
Julien en est convaincu et va tout faire pour y parvenir.
 

Le marché à l'honneur dans le Mag de la Com-Com Couserans-Pyrénées

Merci qui ?

QUINZAINE DU COMPOSTAGE

Le service déchets de la Communauté de Communes Couserans-Pyrénées organise la quinzaine du compostage du 30 juin au 11 juillet 2020 sur 12 communes du Couserans, sur les marchés et dans les déchèteries (programme ci-contre). Des ventes de composteurs et des conseils seront donnés par un animateur chargé de la prévention.

Attention, pour acquérir un composteur, seul les paiements par chèque à l'ordre du trésor public sont acceptés (22€).

Renseignements : 05.61.66.69.66 ou service.dechets@couserans-pyrenees.fr

Il a proposé une conférence sur l’homme et son rapport aux arbres

 


mercredi c’était un marché bien achalandé et animé.

Vue la forte chaleur, les commerçants se sont repliés sous les platanes . Ca tombait bien car l’invité de ce mercredi était le journaliste auteur et arboriste Alain Pontoppidan.

Alain a beaucoup oeuvré pour les arbres dont il a pour de nombreuses espèces produit un petit livret . Dans ses divers productions on retrouve entre autre, le figuier, le platane, le cèdre, le mélèze etc.

Il a proposé une conférence sur l’homme et son rapport aux arbres. Cette conférence filmée donne un principe sur la relation de l’homme qui est frustré car les arbres sont plus grands que lui et surtout plus résistant que l’être humain. En effet beaucoup d’entre eux résistent aux différents changements de climat même si aujourd’hui avec le réchauffement climatique c’est plus compliqué et puis ils ont une longévité plus importante que l’homme, même si on leur fait mal en les taillant, parfois de façon drastiques. C’est ce combat que livre Alain Pontoppidan depuis des années lors de ses conférences. Il tient à remercier les organisateurs du marché pour cette agréable matinée et il a découvert le Poulpe du lac où il a déjeuné après le marché.

La matinée s’est conclue par de la musique toujours sous les platanes.

Après le confinement le marché se porte comme un charme. Tout d’abord parce qu’il n’a pas été confiné, faisant un lieu de rendez-vous hebdomadaire où l’on a retrouvé d’anciens producteurs qui l’avaient déserté.

 

D’autres sont restés à la ferme, mais il y avait de nouveaux chalands, comme les épices de Rina et depuis la semaine dernière, on a retrouvé les savons de Maguy entre autre. Et puis on a découvert de nouveaux clients que l'on n'avait pas l'habitude de voir. Autrement, ce marché s’étoffe et devrait voir arriver une rôtisserie et des pizza, pour l'été, tout dépendra de l’accord du C.A de l’association du marché. Cependant, il devait y avoir la fête de l’anniversaire courant mai et les dédicaces d’auteurs, dont toutes ont été annulées depuis le début de l'année. Reste le Croc’ livres,  échanges de livres le 3ème mercredi du mois, qui devrait repartir cet été avec l’accord de la préfecture qui sera connu fin juin. De nombreuses animations sont en projet, pourront elles se faire ? Toujours est il qu'avec la réouverture du Poulpe, le bistrot culturel, il y a du monde le mercredi au coeur du village. 

Rencontre avec Sabine et Franck maraîchers bio, qui actuellement ne font plus de marchés, Saint-Girons étant fermé, celui de Saint-Aubin à Toulouse n'est ouvert qu'aux produits de première nécessité. Franck et Sabine ont été avec d'autres personnes à l'origine du marché de producteurs du village. 

Comment faîtes vous aujourd'hui pour vendre vos plants et vos légumes de saison ?

Nous avons mis en place une liste de ce qui est disponible à la vente ici à la Friche. Le marché de Sainte-Croix a bien voulu aussi de notre venue cette situation nous fait prendre conscience de notre fragilité économique:  -part importante de l’activité saisonnière du plant dans notre budget.(Nous avons pour cette année déjà réduit, ou pas repiqué certains plants, notamment des tomates dans l’incertitude de pouvoir les vendre).

Nous sommes dépendant des gros marchés depuis notre installation il y a maintenant 15 ans. Nous avons du faire des choix plus économiques. La vente sur le marché local ne nous permettait pas de subvenir au besoin de notre famille.

Comment vous situez vous en tant qu'agriculteurs? 

Justement; un autre point me tient à cœur de partager, je souhaite faire la différence entre une activité agricole et paysanne.

Comment ça ?

Nous nous situons dans la 2ème catégorie,celle des paysans. C'est à dire une multitude d'activités semences, plants, productions, transformation, vente. 

Ce choix nous convient parfaitement, avoir une échelle plus humaine mais qui ne correspond pas toujours à l'attente des consommateurs Celle de vouloir de tout en quantité et toute l'année.

Cette conviction de vie fait notre faiblesse mais aussi notre force.

Avez-vous des solutions ?

La situation actuelle fait prendre conscience que "l'autonomie alimentaire" est nécessaire mais aussi qu'il est temps de  consommer de saison et local .Se grouper dans nos achats pour éviter des déplacements inutiles me semble si évident. Le "corona " aura au moins l'avantage d'avoir mis en place une solidarité humaine qui j’espère saura perdurer.

Pour commander : sur le marché de Sainte-Croix ou venir chercher sur place à Pouteau, hameau sur la route de Lasserre à Sainte-Croix.

N° de tél: 05 61 96 48 62 ou par mail: lafriche@posteo.de

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On respecte les distances sociales !

Voilà encore un marché bien réussi sous le soleil et la vigilance de la gendarmerie qui vient régulièrement y faire un tour... Le marché est autorisé jusqu'au 15 maiLes masques ont eu le même succès que la semaine passée. Le gel hydro alcolique a été bien utilisé également et il en reste en suffisance.Ce sont des bénévoles de l'association du marché qui aident à la mise en place de l"espace publique, et à aider à ranger les barrières à la fin du marché. Les clients font très attention à la distanciation sociale.

Cette vidéo a été réalisée dsans trucage !

Rencontre avec Sabine et Franck paysan à "La Friche" à Pouteau.

Pour vous actuellement il n'y a plus de marché (St Aubin et autres) ? Sauf la vente à la Friche ? Il faut sauver nos producteurs locaux, oui mais comment ? Comment vivez vous votre confinement ?

Franck et Sabine seront présents le mercredi sur le marché confiné
 

Bonjour Franck,

Oui actuellement nous ne faisons plus de marchés, Saint-Girons étant fermé . Celui de Saint-Aubin ouvert aux produits de première nécessité. Les plants ne font pas partie pour le moment de ces critères-là pour la mairie de Toulouse.

Nous avons donc mis en place une liste de ce qui est disponible à la vente ici à la Friche. Le marché de Sainte-Croix a bien voulu aussi de notre venue , ainsi que Olivier et Jocelyne des jardins du bocage. Il était important pour nous qu'ils soient d'accord avec notre venue puisqu'ils sont installés avec leur plants sur le marché.

Cette situation nous fait prendre conscience de notre fragilité économique:  -part importante de l’activité saisonnière du plant dans notre budget.(Nous avons pour cette année déjà réduit, ou pas repiqué certains plants, notamment des tomates dans l’incertitude de pouvoir les vendre).

                      - dépendance des gros marchés (depuis notre installation il y a maintenant 15 ans ,nous avons du faire des choix plus économiques. La vente sur le marché local ne nous permettait pas de subvenir au besoin de notre famille).

 Un autre point me tient à cœur de partager, je souhaite faire la différence entre une activité agricole et paysanne.

Nous nous situons dans la 2ème catégorie,celle des paysans .C'est à dire une multitude d'activités semences, plants, productions, transformation, vente. Plus une forme d’autonomie alimentaire pour notre famille.

Ce choix nous convient parfaitement ,avoir une échelle plus humaine mais qui ne correspond pas toujours à l'attente des consommateurs Celle de vouloir de tout en quantité et toute l'année.

Cette conviction de vie fait notre faiblesse mais aussi notre force.

La situation actuelle fait prendre conscience à certains et certaines et en confortent d'autres dans l'idée qu'une certaine "autonomie alimentaire" est nécessaire mais aussi qu'il est temps de  consommer de saison et local .Se grouper dans nos achats pour éviter des déplacements inutiles me semble si évident. Le "corona " aura au moins l'avantage d'avoir mis en place une solidarité humaine qui j’espère saura perdurer. Ne pas se replonger dans l’égoïsme, l’intérêt, l'individualisme et les contradictions qui nous incombent tous plus ou moins.

J'aimerai tellement croire en l'humain...

Voilà mon ressenti. Belle journée à toi.

   Sabine

La friche, Sabine et Franck producteurs de plants d' aromatiques et de plants maraîchers en bio.

Possibilité de commande sur le marché de Sainte-croix ou à venir chercher sur place à Pouteau,hameau sur la route de Lasserre à Sainte-croix.

N° de tél: 0561964862 ou par mail: lafriche@posteo.de

Masques de protection sur le marché !

Bonjour à tous, C'est Emilie et Fred, producteurs de fromages de brebis à Belloc et Bert Jan et Julie, producteur de fromages de vache à Cérizols.

Afin de respecter les mesures de sécurité préconisé par les autorités et de préserver la santé de tous, nous vous proposons une tournée de livraisons le mercredi matin partant de Belloc puis passant à Cérizols, Fabas, marché de Ste Croix vers 11 h (au marché les commandes sont obligatoires, toujours pour des questions sanitaires), Lasserre et Betchat.


Vous pouvez passer votre commande jusqu'à mardi midi en cliquant sur le lien :https://docs.google.com/spreadsheets/d/1jQ-RuCoZLm9EZhQ3_GNdsG1ne5X5qW5zCi8A8E9K2Us/edit?usp=sharing
Ou en nous envoyant un mail : http://labergerieduloriot@posteo.net

 

Pour ceux qui souhaitent être livrés lors de la tournée, pensez à préciser votre adresse exacte par mail et l'endroit où nous pouvons déposer la commande (grange, garage, sur un rebord de fenêtre ...) vous préparerez le règlement à l'avance ( chèque ou appoint) afin que nous n'ayons pas de contact direct.

Voici la liste de nos produits : GAEC les Vachers de la Morere à Cerizols, Fromages, yaourts en conversion AB : - Lait 1 l : 1.40 € - Yaourt bouteille 1 l : 3.30 € - Fromage blanc 720g : 4.40 € - Tomme nature : 18 € / kg - Tomme Fenugrec : 18 € / kg - Fromage dans l'huile 200g : 4.20 € GAEC la bergerie du Loriot à Belloc , fromages et yaourts de brebis AB: - Pérail frais ou affinés = 3 € - 3 rocas (petit fromage type rocamadour) affinés ou secs = 2.8 € - yaourt, pot de 380 g = 3 € (2.70 € + 0.30 ctes consigne) - Tomme de brebis = 22 € / kg (Merci de nous indiquer le poids désiré)

 

Un autre lien sera bientôt en ligne pour les commandes de fromages vaches, brebis, pains et miel pour les points de livraison à la ferme de Cérizols chez Bert Jan et chez nous à Belloc le samedi soir et à Salies le vendredi soir. Vous pouvez nous joindre par téléphone pour tous renseignements 06.32.30.23.40. Emilie

Prenez soin de vous !!
A très bientôt Bert jan, Julie, Émilie et Fred

Bonjour à tous,
Suite à décision préfectorale, le marché alimentaire de Sainte Croix Volvestre fait parti des 18 marchés maintenus sur notre département.

Nous continuerons à y commercialiser nos produits mais il est impératif que nous simplifions au maximum notre façon de les distribuer afin de fluidifier la circulation des usagers, seul moyen de maintenir une distanciation sociale efficace (Ne pas respecter ce principe actuellement est une mise en danger de soi-même et, malheureusement, de l'ensemble de la population...).

Ainsi, nous prévoyons de nous déplacer à 2 personnes pour mieux gérer le service et nous vous proposons de passer commande avant le Mardi midi afin de que tout soit déjà prêt lors du retrait, qui pourra s'effectuer dès 8h sur le marché (Voir modalités de commande en bas de page).

Nous approchons du pic de production, la saison de pâturage a commencé, donc nous aurons aussi des produits non réservés disponibles. Nous savons que la situation va évoluer et travaillons sur d'autres options, nous vous tiendrons informés par les moyens numériques.
N'hésitez pas à diffuser l'information aux personnes "moins connectés" et à grouper l'approvisionnement alimentaire de votre quartier ou hameau afin de limiter au maximum les déplacements.

Nous vous souhaitons bon courage à tous!

Modalités de commandes:
Vous pouvez passer commandes avant le Mardi midi par: - SMS au 06 81 47 92 45 - Whatsapp au même numéro - MAILS à chevriers.bardaou@orange.fr - Via Messenger sur notre page Facebook "Les Chevriers de Bardaou" SVP, il m'est quasiment impossible de gérer les appels vocaux, il y a donc de très fortes chances que ça ne fonctionne pas si vous essayez par ce biais là....
Dans votre message, en plus de votre commande, veuillez nous préciser votre prénom et l'heure approximative de votre passage sur le marché. Nous confirmerons la commande en vous répondant pour vous donner le prix.

Mercredi 25 Mars, marché confiné, mais confirmé !

 

Salut à toutes et tous,

En ces temps étranges, afin de pouvoir satisfaire le plus grand nombre
de personnes et d'ajuster mes quantités produites au mieux, je vous
propose de précommander votre pain.
Ainsi il sera emballé de la sortie du four jusqu'à votre panier. Je
continuerai évidemment à vendre du pain pour les personnes qui n'ont pas
commandé mais je ne garantis pas que j'en aurai pour tout le monde, mes
capacités de production ne sont pas extensibles indéfiniment. Évidemment
je respecterai les règles d'hygiène en vigueur, je vous demande de ne
pas toucher le pain et les légumes avant que je vous serve et de
préparer l'appoint si possible ou un chèque.

Pour commander rien de plus simple, envoyez un SMS au 0628063798 (idéal)
ou un mail à diego@utopons.org (si pas de téléphone) avec votre commande
et votre prénom. La liste et les tarifs des pains restent inchangés :

Pain au levain demi complet :

Nature  1kg long ou moulé  4,8€

              500g                        2,8€

Graines (sésame, lin, tournesol, courge)

             1kg long ou moulé  6,5€

             500g                       3,5€

Pain au petit épeautre

             1kg moulé              7,5€

             500g                       4€

Je garderai vos numéros de téléphone et vous enverrai un SMS chaque
lundi pour vous demander votre commande, si vous ne le souhaitez pas
dites le moi.

Cela permettra également d'anticiper une éventuelle fin des marchés de
plein vent et d'organiser une future livraison (l'Italie vient
d'interdire les marchés).

Bien à vous toutes et tous, salutations hygiéniques.

Diego pour l'Appel du Grain

Sur le marché de Ste Croix-Volvestre

Ce mercredi le marché avait bien lieu seulement pour les produits strictement alimentaires !

On retrouvait donc, du pain, du fromage, des crêpes, de la viande et des légumes. La bonne nouvelle c’est qu’il aura lieu tous les mercredi malheureusement la mauvaise nouvelle est que la terrasse du bistrot « Le poulpe du lac »  est fermée durant le confinement. Les gens ne peuvent donc plus se rencontrer sauf sur le marché où quelques masques sont apparus ce mercredi !

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Bonjour à tous,

Nos adhérents consomm'acteurs s'expriment; nous transmettons ci-après le message d'Hélène ;

Bonne lecture.

Prenez soin de vous.

L'Equipe du Marché

 
 
Bonjour !
 
   J' étais au marché ce matin (18/03/20), j' ai trouvé que cela fonctionnait
très bien, calmement et en respectant les règles sanitaires autant que possible.
J' ai été chagrinée d' entendre à plusieurs reprises: "Profitons de bien faire
le marché, avant que cela ne soit interdit"...LES MARCHéS DE PLEIN AIR
NE SERONT PAS INTERDITS, MAIS LES ÉTALS DOIVENT ÊTRE SÉPARÉS
D'AU MOINS 3 MÈTRES. Les placiers n' arrivant pas à faire annuler des stands paisiblement, on interdit tout simplement des marchés de plein air.
   Cette période de pandémie va nous faire subir toutes les fausses annonces
possibles et imaginables !!!
   Le marché se Ste Croix respecte les lois sanitaires : au moins 3 mètres
entre chaque stand, 1 mètre entre chaque client, usage de gants et gels H.A.
 
Dans les cas de pandémies, on conseille: (désolée de faire mon infirmière)...
- De ne vendre que des produits déjà conditionnés (dans des sacs en papier, cartons);
ou alors le vendeur est le seul à manipuler et conditionner ce qu'il vend et le conditionnement qui va avec.
- Pour manipuler la caisse, on ne cherche pas à désinfecter l' argent, on prend
des gants pour l' usage exclusif de la caisse (ou on change de gants à chaque fois)....
C' est pour ça que certains conseillent des gants assez rigides et épais,
qu'on enfile et enlève rapido.
Ou bien quelqu'un ne s'occupe QUE de la caisse (pas facile)
Ou bien on prend des pinces .
Les chèques sont conseillés, et surtout le paiement par carte et sans contact ( bien sur,
mais c'est pas courant ici.)
- L' usage des gants est trompeur car on se sent protégé...Il faut changer de gants dès
qu'on se touche les yeux, le nez...Gestes machinaux !
- Le gel H.A et le nettoyage des surfaces au savon, on le sait !
- Les surfaces (bois, plastic,métaux,tissus..) se désinfectent avec un savon liquide simple.
Les infections par contact se font actuellement beaucoup avec le téléphone (la surface des téléphones tactiles actuels est facile à nettoyer).
Le Corona virus (comme tous les virus) est fragile si il n' est pas dans un organisme :
Sur une surface, il peut vivre 3 heures seulement. Pas besoin de désinfecter les tissus ou autres,
pas besoin de désinfectants ou lavants complexes ou à  température élevée.
On peut fabriquer soi-même son gel hydro-alcoolique (voir recettes sur internet), avec de l' alcool, aloé Véra, huiles essentielles (ravinsara, lavande...)...
- Le port d'un masque, c'est très bien aussi !
 
    Bref, c' est surtout des questions d' habitudes.
Les gens du coin sont assez paisibles pour pratiquer et échanger tranquillement à ce sujet.
 
   Il pourrait y avoir aussi des livraisons à domicile : La liste des clients-adhérents du marché pourrait servir à mettre les producteurs en contact avec eux. Livraison de paniers. Regroupement de plusieurs producteurs pour livrer. Par texto, par courriels..?
 
    J' écris tout ça car je pense qu'on veut tous que cette crise sanitaire ne
profite pas aux super-marchés. On vit une crise où justement on peut prendre
position de façon très pertinente à ce sujet, tout en étant très responsables et
conscients du risque sanitaire.
Les super-marchés (lieux clos à air ventilé), sont à proscrire en cas de pandémie;
On a bien compris qu'il est conseillé de s' y rendre pour ses achats, pour des raisons
qui n'ont rien de sanitaires.
L' ampleur et l'origine du risque sanitaire sont pour le moment sujets à tous les
phantasmes, de quel bord que ce soit. Toutes les guerres et théories du complot vont défiler.
Ne nous replions pas !!
 
Bisouilles !! Hélène (Bellevue)

 

 

Compte tenu du contexte sanitaire actuel et des mesures gouvernementales qui ont été prises,   les animations qui devaient avoir lieu Mercredi 18 Mars sont annulées.

Croc livres, dédicaces, passe graines, greffe en fente, massages sur chaise et dernière soupe au caillou....

Toutefois :

 L'arrêté Ministériel du 15 mars autorise le "commerce de détail alimentaire sur éventaires et marchés". Il y aura donc le Marché.

Néanmoins, tenez vous informé !

Les diverses animations du marché de Ste Croix

-Visite  Élevage Alpagas : 10 avril à 16h

- Croc’livres : 15 avril, 20 mai

- Espace Non Marchand : 20 mai + Croc’livres

- 20 mai : Anniversaire 
- 20 mai : Espace Non Marchand

Dédicaces avec Croc’livres
• 15 avril : Artiste peintre, Isabelle Borghini (Gabor peint des aquarelles aux effets de matière et de transparence mais pas que ...

Elle réalise des livres d'enfants à l'aquarelle. Le dernier, « Bidouille et les quatre saisons », est sorti en octobre 2019. 

• 20 mai : Jean Paul Ferré : Résistance en Ariège.  Après "Ceux de Betchat dans la Grande Guerre", publié par Eth Ostau Comengés début novembre, un nouveau livre de Jean-Paul Ferré, "Les Couserannais racontent 39-45", vient d’être édité par Le Pas d’oiseau .

• 17 juin : A. Pontoppidan. Momo prévoit expo livres nature. Conférence : « Pourquoi
les arbres ne font pas caca et autres bizarreries du monde végétal ». ENVOL pourrait
prêter la sono. Après-midi visite des arbres remarquables. 
• 15 Juillet : Michel Oundjian "L'ours du Berger" 

Assemblée Générale 

L’assemblée démarre par le bilan moral fait par le président, José Clivillé.

L’Assemblée générale du Marché de Ste Croix Volvestre (75 adhérents) s’est tenue le 25 janvier 2020 en présence de 22 personnes dont 4 producteurs et 3 élus du Canton.

Le président José Clivillé a remercié les personnes présentes, l’équipe du Marché, les producteurs, la municipalité de Ste Croix et les associations partenaires pour leur présence assidue sur le marché.
Le bilan des activités de l’année 2019 a fait état de :
51 marchés avec un stand d’informations et de boissons chaudes et un stand associatif de producteurs locaux ; de 12 ventes de livres d’occasion à prix libre ; de 5 dédicaces d’auteurs ; de l’édition de 4 journaux saisonniers ; de 4 soupes chaudes partagées en hiver ; de 2 fêtes pour l’anniversaire du Marché et le Noël au marché ; de 2 espaces non-marchands ; de 2 stands d’échanges de graines ; de la visite du GAEC de la Chouette qui vend du miel sur le marché. L’association a aussi participé à la Journée de la nature et à la Sensibilisation à la discrimination avec les associations ENVOL et Solafrika.

Le bilan financier très positif témoigne de la bonne santé de l’association.

Nouveau Conseil d’administration

Président : Clivillé José

Vice-présidents : Oulieu Marie-France et Lartigue Maurice

Secrétaire et secrétaire adjoint : Chevaillier Annick et Botteau Franck

Trésorière et trésorier adjoint : Rivière Lucette et Buraud Xavier

 

 

 

Michel Larive sur le marché.S'il n'y avait pas de marché serait il tout de même venu à Ste Croix?. Il était là  pour un compte rendu de mi-mandat. Sans être offusquant envers notre conseiller départemental de l'Ariège (DVD), on n'a pas eu droit depuis longtemps au compte rendu  de ses actions auprès de l'assemblée départementale.

Michel Larive député de la France Insoumise avec Anaïs Souquet attachée parlementaire (à droite) sur le marché de Ste Croix

 

Wolfgang Brendick sera en dédicace le Mercredi 18 Mars de 10h à 13h avec son dernier ouvrage :

"Le berger".

Après les deux tomes des "Hippies Trail" publiés en 2018, Wolfgang Bendick, "Wolfi" pour les intimes, va publier le premier tome des "Néo-ruraux", intitulé "Le Berger", un ouvrage de 665 pages, à partir du 10 décembre. Les deux autres tomes, "Le Fromager" et "Le Paysan bâtisseur", paraîtront en 2020. L’auteur, né en 1948 en Westphalie, en est à sa 8e œuvre. Il décrit dans ses romans le développement de la société depuis son enfance. Dans sa nouvelle œuvre, il décrit l’histoire d’une famille qui s’installe dans une vallée des Pyrénées, la Bellongue, sur les hauts d’Augirein, afin d’y vivre une vie simple, en accord avec la nature. Ce livre raconte les difficultés d’une telle vie mais aussi le bonheur qu’elle peut procurer.

"Wolfi" raconte : "Dans cette petite vallée, nous avons trouvé une ferme abandonnée depuis 35 ans, 22 ha de terre et une vieille maison avec étable. À l’intérieur, cela sentait le moisi et la suie, notre rêve pouvait enfin se réaliser. Mais une vie simple n’est pas si facile. Dans les prés, il ne poussait que de la fougère, il manquait le minimum, un accès à l’eau, l’électricité. Il a donc fallu créer la base. Nous étions sollicités par les habitants de la vallée, presque tous des gens âgés, qui, sceptiques au départ, avaient besoin de notre aide. Ils possédaient encore quelques animaux et nous avions une motofaucheuse presque neuve. Nous avons fait les foins ensemble, le travail nous a rapprochés et puis, dans la commune, on cherchait un cantonnier, un fossoyeur, un couvreur, un chauffeur… nous étions là ! Nous avons acheté les premiers animaux, le premier été fut très sec, on nous a conseillé d’acheter des brebis, nous l’avons fait. Nous nous sommes enrichis d’expériences".

C’est ainsi que la famille s’est intégrée dans la vallée. "Wolfi" est maintenant président de l’association Fromasges et miels des Pyrénées et la famille est à la tête d’une ferme modèle, Le Pourtérés.

Dans cet ouvrage, il donne donc des conseils techniques sur l’élevage, pour retaper une grange, d’astuces pour ceux qui veulent s’installer, toute une expérience transmise dans ces pages, mais aussi de bêtises à ne pas commettre.

Les dédicaces du troisième mercredi du mois reprendront sur le marché en mars prochain. Les auteurs qui souhaitent s’inscrire peuvent contacter le 06 43 20 87 93.

Comme à chaque veille de Noël, le marché de Ste Croix, via l'association, organise le marché en fête. A cette occasion, les commerçants proposaient des produits festifs pour les réveillons de fin d'année dont la plupart proposaient des produits locaux (circuit court) qu’ilq soient alimentaire ou artisanal.

A la fin du marché, vers midi, un apéro gourmand et la soupe au chou préparée par Loisir et détente était arrosé de vin chaud fait maison set était accompagné par  jean michel à l’accordéon.

Cette journée ensoleillée et conviviale a permis de rencontrer de nombreuses personnes et découvrir les artistes et producteurs locaux !

Vous êtes tous les bienvenus pour l'assemblée générale qui se déroulera le samedi 25 janvier à 18h00 à la salle des associations.

Les dédicaces du 3ème mercredi du mois reprendront sur le marché en Mars prochain. Pour vous inscrire et choisir votre mois, sauf en Mai, la place est déjà occupée. Contact : Franck Botteau 06 43 20 87 93

Parole de mécréants de Pierre Poignant

C’est quoi un mécréant ?
Qui ne croit aucun dogme d’aucune religion et que les déistes regardent comme impie. 
Pierre Poignant est un auteur arrivé au siècle dernier en Ariège.  Il a vécu dans les montagnes couseranaises et vit maintenant du côté de Lescure.
Dans son roman « parole de mécréant » il décrit le rapport néo rural, avec ses valeurs, tout en cohabitant avec un agriculteur ariégeois avec qui il noue des liens d’amitié. En définitive les deux hommes ont les mêmes convictions en ce qui concerne le travail de la terre !
La deuxième de couverture fait la part belle aux paysans : exterminés ! Aux espagnols : ceux qui croyaient en un mon,de libre ; ceux qu’on renvoya croupir dans des camps de concentration, ceux qu’on livra aux nazis, ceux qui firent beaucoup plus que de contribuer à la libération de l’Ariège, à la libération du Sud Ouest, de la France, à la libération de Paris ; ceux qu’on laissa se démerder avec Franco...ceux qu’on s’empressa d’oublier.
Dans salut Beatnik un de ses romans il racontait l’épopée d’une bande de jeunes chevelus en Ariège dans les années 70, place aujourd’hui à un anarchiste né au pays. 
Au détour des 127 pages découvrez principalement Etienne et Adèle ainsi que quelques autres figurants tel que « Massey Ferguson » l’agriculteur conventionnel qui n’est pas apprécié d’Etienne l’agriculteur anarchiste et ariégeois de souche !
Vous pouvez trouver ce roman autobiographique dans les différentes librairies ariégeoises. Bonne lecture. 

 

Des commerçants du marché se posent la question : "pourquoi les habitants du village ainsi que les conseillers municipaux, ne viennent ils pas sur le marché le mercredi,  pour faire travailler les producteurs locaux ?"  Et bien il suffit de leur répondre venez le mercredi, car ici c'est un super marché !

Des bijoux le mercredi  avec "Au gré du vent"associations culturelles, de loisirs, associations de défense de l'environnement, associations éducatives, associations humanitaires, d'entraide, sociales, associations, organismes de consommateurs et d'usagers, épiceries solidaires

Des bijoux le mercredi avec "Au gré du vent"associations culturelles, de loisirs, associations de défense de l'environnement, associations éducatives, associations humanitaires, d'entraide, sociales, associations, organismes de consommateurs et d'usagers, épiceries solidaires

Rencontre avec Julie et Christophe, nouveaux arrivants, qui viennent sur le marché de Ste Croix le mercredi. L’association du marché avait donc organisé une rencontre avec les apiculteurs de Montardit.
C’est en début d’après midi que le groupe est arrivé au rucher où il a pu découvrir le travail des apiculteurs qui sont toujours victimes de fortes mortalités dans leur cheptel et ce dans toute la France. Ce cours pédagogique a pu mettre en valeur la nécessité de sauvegarder les abeilles pour la continuité de la biodiversité sur notre planète ! Après l’observation de diverses photos prises dans les ruchers et présenté par Christophe, le groupe s’est mis en tenue pour aller sur place, à quelques mètres de là, observer les abeilles en pleine action avec des vêtements de protection prêtés par les apiculteurs. 
Retrouvez leur miel tous les mercredi sur le marché de Ste Croix sous le stand du parasol.

Pour sa troisième apparition sur le marché de Sainte-Croix, l'auteure ariégeoise a fait un carton. À chaque nouveau roman, elle revient toujours avec plaisir dans le chef-lieu du canton. «Je retrouve avec beaucoup de plaisir des habitués qui viennent depuis 2011, l'année de sortie de mon premier livre, «Mon enfance sauvage». C'est l'histoire de mes parents, Patrice et Barbara. Ils ont élevé leurs huit enfants en dehors de la société de consommation, pas d'eau courante, pas d'électricité, pas de lits, pas d'assiettes ni de couverts, pas de jouets en plastique, pas d'école. Mes lecteurs aiment quand l'action se déroule dans un décor où ils se retrouvent.» L'auteure s'inspire toujours de la réalité. En Ariège, il y a un mélange de cultures et l'histoire de son livre «La Vallée oubliée» est l'aventure d'une femme qui va entrer dans ce monde que l'on peut découvrir tous les samedis au marché de Saint-Girons entre autres ou bien en faisant des randonnées en montagne. Djalla tient à remercier Franck et toute la belle équipe du marché. Ce fut encore une fois une dédicace riche de rencontres et de partages. Comme l'an dernier, Djalla a vendu dix-neuf livres.

Toujours de belles surprises sur le marché

Le 1er Mai et le 8 Mai, jours fériés, tombent un mercredi. Une aubaine pour les personnes qui travaillent et ne peuvent venir sur le marché qui se tient en milieu de semaine. Cette année c'est férié ! Alors elles pourront acheter des bons produits du pays fabriqués près de chez vous et  aussi découvrir une ambiance que l'on trouve nulle part ailleurs, dans le canton !

Franck

 

Dédicace du 17 avril : Jean Paul Loubes a passé son enfance à Ste croix avant de partir à l'adolescence à Bordeaux pour étudier l'architecture. 
Il revient chaque année l'été au village où il "trainait" avec les jeunes restés au pays. Il possède une maison cote de Mataly et passe une partie de sa retraite à voyager et publier des livres dont "le dernier charron" évoque l'histoire de son grand père qui fut le dernier charron du village et habitait au Prieuré le couvent de l'ordre de Fontevraut en état de délabrement et qui vient de trouver, il y a deux ans, une association de sauvegarde présidé par... Michel Loubes son frère ! Un souvenir parmi d'autres de Jean Paul : Je me souviens très bien de la première tronçonneuse arrivée à Ste Croix, qui remplaçait le passe partout. J'étais parmi les spectateurs dans la propriété de Monsieur Géraud derrière donc dans le couvent où les bûcherons sont venus couper un très gros arbres (cèdre ?), Cet arbre semblait magnifique mais il sera la 1ère victime de la mécanisation du monde rural à Ste Croix ! 
Arrive ensuite les tracteurs et sur les charrettes on met des roues à pneus. Pour les gens de mon âge arrive le temps de fréquenter le collège ou le lycée. On est les enfants du baby boom, on est très nombreux et c'est le collège pour tous certains reviennent en voiture, en stop, en bus. Je suis parti du village, mes parents habitaient Toulouse, j'avais une liberté totale. De son dernier ouvrage on retrouve certaines séquences de l'évolution du village depuis 60 ans ! Sur le marché, ce mercredi, Jean Paul a rencontré des amis d'enfance ainsi que des lecteurs de ses différents ouvrages, dont la biographie de Paul Vaillant achetée par l'association du marché ce jour la. Il proposait aussi son livre  sur le tourisme : "arme de destruction massive". On peut commander ses livres aux éditions Fédérop et Sextant.

 

Comme chaque année, en ce jour de vrai printemps, la matinée est consacrée à de nombreuses animations et de découverte sur le marché du mercredi. Un marché qui fêtait son anniversaire.Le retour des quilles au maillet !

Avant l'apéritif gourmand, un peu de musique  d'Occitanie avec  Jérôme à l'accordéon qui rappelle que la musique adoucit les mœurs ! Ensuite régalade locale avec l'apéritif gourmand offert par l'association du marché qui a acheté les produits sur place et préparé par les petites mains du marché. Cette matinée s'est conclue sous le soleil qui a fait son apparition. À l'année prochaine ! 

 

On retrouvera la jeune femme le Mercredi 19 Juin prochain sur le marché de Ste Croix

La première dédicace publique du nouveau roman de Djalla-Maria Longa, «La Vallée oubliée», aura lieu le samedi 20 avril, à la librairie A la lettre. En avant-première pour «La Dépêche du Midi», l'auteure nous fait découvrir cette saga qui se déroule dans nos montagnes.

Qui mettez-vous en scène et dans quel univers ?

Une femme arrive en Ariège, dans la vallée de Salau, pour changer de vie, mais très rapidement elle a l'impression d'être dans un autre pays. Il est aussi question de harcèlement scolaire, de fuite, de secrets de famille. L'hiver dans les montagnes ariégeoises est rude et le silence redoutable. L'histoire commence le jour où Albert, un paysan de la vallée oubliée de Salau, aperçoit dans l'immensité de ce désert blanc une silhouette féminine qui avance avec difficulté et se dirige vers la piste menant à l'estive du port d'Aula. Cette femme ne ressemble en rien à quelqu'un de cette famille de hippies qui refuse de mettre leur fille à l'école. Lorsque Albert raconte à sa mère l'arrivée de l'étrangère sur leurs terres, le regard de la vieille devient encore plus farouche et elle marmonne : «Bah ! Mais qui viendrait se perdre ici par un temps pareil ?» Les babas du coin se posent aussi la même question. Tous ignorent que cette jeune femme ne sait ni d'où elle vient ni où elle va.

Cette petite fille, qui dans le roman ne va pas à l'école, est-elle celle que vous étiez dans votre premier opus, «Mon enfance sauvage» ?

J'ai connu cette façon de vivre et des hommes aussi réfractaires à la société que celui que la jeune femme va rencontrer en arrivant en Ariège. Lui, sa femme et leur fille vivent en autarcie.

Pourquoi évoquez-vous le harcèlement scolaire ?

Un personnage de l'histoire écrit entre chaque chapitre du manuscrit une lettre choc à ses parents. Les faits se déroulent à l'école, au collège et même au lycée, les enseignants et ses parents ignoraient tout de son sombre passé.

Quelles raisons ont motivé le choix de la vallée de Salau comme décor à ce roman ?

C'est un endroit où, avec mes parents, mes frères et mes sœurs, nous allions souvent. Nous arrivions jusqu'à la frontière espagnole pour observer les marmottes, les vautours et les montagnes. Ce paysage correspond parfaitement au cadre dans lequel j'ai imaginé l'histoire de cette jeune femme.

Propos  recueillis par Alain Arbogast

On retrouvera la jeune femme le Mercredi 19 Juin prochain sur le marché de Ste Croix de 10h à 12h !

L'âme d'un village


De tout temps la vie d'un village était basée sur le commerce local, ses marchés qu'ils soient hebdomadaires ou autre, offrant à ses habitants une autonomie indéniable et une cohésion sociale où chacun avait sa place, où l'échange, l'entraide étaient monnaie courante.
Le développement de l'économie locale a été, pour faire court, avalé par un monopole humain national, voir mondial en quelques décennies, ruinant les campagnes, les forêts et les océans au nom, entre autres, du confort alimentaire dans l'unique souci du profit immédiat .
Pour ne pas savoir que le niveau de destruction de la planète a atteint son seuil critique et rester les bras ballants, il faut être un ermite ou un inconscient. Beaucoup se disent « mais pourquoi MOI, je devrais faire un effort, alors que mon voisin, les usines et les autres ne se sentent pas concernés ».
Et vous ? Où en êtes-vous ? Êtes vous conscient de l’empreinte que vous laissez de votre passage sur terre, de l’importance de la revalorisation de l’agriculture, du maraîchage, de l’artisanat, de la richesse de la production locale ?
Comment ne pas vouloir préserver son environnement, développer sa qualité de vie par une alimentation saine et offrir à ses enfants l'assurance d'un avenir possible le tout dans une ambiance conviviale.
Le Marché de Sainte-Croix n'est pas une réponse à tout ; d'autres lieux sont également porteurs d'initiatives dans une mouvance pour un monde en reconstruction.

Marianne 

https://www.tourisme-couserans-pyrenees.com/evenements/detail-de-Marche-de-Plain-Vent-4429.html

Croc'Livres et dédicace 

Sur le marché du mercredi nous avons eu de belles animations en une matinée, tout d’abord le Croc’livres d’échange littéraire accompagné d’une dédicace d’Alain Cypryk Snow et ses ouvrages,"la constellation de l’ours" et "ultime blues", ce dernier est consacré à l’immigration sujet particulièrement sensible de nos jours. Alain est Français, d’origines anglo-polonaises et rappelle que le phénomène migratoire participe à la construction des nations européennes, dont la France. Les migrations sont une constante de notre histoire. À différentes époques, des vagues se succèdent : bretonne, auvergnate, russe, roumaine, arménienne espagnole, italienne, polonaise, arabe, portugaise etc. D’ailleurs à l’heure actuelle si vous consultez l’annuaire téléphonique de l’Ariège on se rend compte que de nombreux noms de famille sont issus de l’immigration et plus particulièrement espagnole fuyant le fascisme franquiste durant la retirada dont on fête cette année les 80 ans. Seulement la troisième génération, qui est française, a oublié, pour certains, ces valeurs d’accueil et de liberté que leurs grands parents et parents leur ont inculqué jadis ! Il y a comme un oublie et aujourd’hui, force est de constater que l’ennemi n’est plus franco, pour eux, mais le néo ! 
Alors oui, on peut toujours dire qu'on est l'étranger de quelqu'un et pointer du doigt les migrants africains, syriens, libanais… voire même ceux qu'on appelle les « néo-autochtones » ! Ces derniers sont une population arrivée dans les années 70. Ils peuplent aujourd'hui l’Ariège et montent souvent des projets écologiques. Une partie de cette population travaille sur Saint-Girons, Toulouse, dans divers secteurs (lycées, hôpitaux, services). Elle a créé des entreprises autour de l'alimentation, du maraîchage, de l'élevage, du bois (charpente, menuiserie). Dans un département désertifié et touché par le chômage, ces nouvelles familles avec deux à trois enfants ont repeuplé les communes, créé de l'emploi, et permis aux écoles de fonctionner. C'est ça aussi la migration ! Merci à l'auteur d'éclairer les consciences par ce livre "Ultime Blues" ! 

Marché de Ste Croix Volvestre
 

Passe Graines pour échanger la semence

Mercredi sur le 1er marché du printemps on a pu échanger des graines de légumes ou de fleurs, des boutures, des plants, des outils... 
Pourquoi ?
Parce-que le jardin de nos grand-parents regorgeaient de variétés parfois oubliées, parfois disparues ou en passe de l'être. 
Parce-qu'à cause de la politique agricole fondée sur une logique de profit qui revient surtout aux lobbys semenciers, ceux-ci voudraient avoir le monopole du vivant.
Le but était de porter des boutures, des plants ou des graines qui ont été récoltées dans son propre jardin .
Vous pouvez à votre tour devenir des passe-graines et on pouvait prendre les boutures, les plants et les graines dont on a besoin et qui sont identifiés.

L’association était là aussi pour avoir des échanges avec les jardiniers et leur jardin et sur les différents mode de culture. 

Voir la vidéo (audio) de l'AG du Marché 2019

L'assemblée générale de l'association Marché de Ste Croix Au menu, Bilan moral du président, Bilan financier et rapport d"activité. Projections vers 2019 et questions diverses

Compte-Rendu de l’Assemblée Générale du 26 janvier 2019

Présent(e)s : 22 personnes dont 2 producteurs, 3 élus de Ste Croix et Mr Bari

Président du Conseil Départemental

6 procurations

Excusés : Mr Bavard, maire de Fabas, Mme BLAIN maire de Cérizols

Avant le bilan moral, le président, José Clivillé, demande que l’assemblée se

souvienne de Katja et de Yves décédés cette année. Il est rappelé le moment

d’hommage très émouvant qui leur a été rendu sur le marché en présence des

familles et de nombreux amis.

BILAN MORAL

Le président remercie les présents et l’équipe d’animation du Marché. Il rappelle la fin du Marché Ô initiatives, la présence des joueurs de quilles au beau temps et fait le bilan du mouvement des stands durant l’année.

Arrêt définitif de la poissonnerie et des produits asiatiques ; arrivée de la crêperie bio, ponctuellement celle d’un marchand de vin ; retour au printemps des légumes de Stéphanie, de Fred et Émilie avec du fromage de brebis ; présence du stand du Foyer rural + Loisir et détente et du stand tenu par les parents d’élève des écoles du canton (faute de parents disponibles, l’école de Lassere ne participe plus, mais les écoles de Ste Croix et de Fabas sont très

satisfaites que le Marché offre cette possibilité d’alimenter la coopérative) ; présence ponctuelle de Maguy Pavant avec ses savons et les accessoires de laine de Anna Fauroux ainsi que de quelques autres.

A José disant qu’il y avait peut-être moins de monde sur le marché, Loïs (fromage de chèvre) objecte que son chiffre est en augmentation et que les autres commerçants le disent aussi, mais qu’il faut être vigilant, vu le type de

marché, à ce que les commerçants d’un même produit ne se multiplient pas. Un contact régulier se fait avec eux et doit être maintenu. 

Bilan Moral voté à l’unanimité

BILAN DES ACTIVITÉS 2018

68 adhérents, 52 marchés, 12 Croc'livres et 10 dédicaces d’auteurs les 3ème mercredis du mois, 4 Feuilles de chou saisonnières, 2 Apéros gourmands pour l’anniversaire et le Noël au marché, 2 espaces non marchand, 2 stands « Passe graine », 1 marché à la pomme, 1 marché à la châtaigne, une journée de l’arbre, les gâteaux des écoles. Intervention des référents :

Marché de Ste Croix Volvestre CR de l’AG 2019 1/4 Croc livres Maurice Lartigues qui n’a pas les mêmes réseaux que Yves à qui il

succède, demande de l’aide pour déballer et remballer, indique que les approvisionnements se feront par le bouche à oreilles et que le système de présentoir à livre serait à revoir. Un accès plus proche est recherché. Un bénéfice de 1000€ a été enregistré pour l’année.

* Dédicaces (Franck Botteau) 10 dédicaces, 2 défections, 4 prévues jusqu’en juin. Certains auteurs sont venus plusieurs fois et le stand est vivant. L’association du marché achète les livres présentés qui seront offerts à la Bibliothèque.

Le café et la table d'info (Lucette Rivière) : producteurs et consommateurs apprécient ce lieu de convivialité et ses boissons chaudes. C’est une force du marché. La cagnotte colletée est en hausse : 475€ net de bénéfice. Celui-ci s’ajoute à la collecte de la vente à prix libre des livres pour le fonctionnement du marché.

* Les marchés à thèmes organisés par José Clivillé sur la châtaigne, la greffe et l’arbre ont été biens suivis. Ceux d’anniversaire, de Noël, avec les moines tibétains se sont aussi très bien passés.

* Passe graines (Annick Chevaillier et Manou Rougerie) L’association, depuis

presque 15 ans, a pour but de préserver l'autonomie des jardiniers en produisant eux même les graines dans le respect de la nature, de les échanger, de les partager afin que soit préservée la variété qui tend à s’uniformiser. Le stand, où on peut prendre des graines produites par les adhérents, a aussi un rôle pédagogique sur les pratiques jardinières. Le prochain rendez-vous de printemps sera sur le marché le 20 mars.

* Espace non-marchand

Organisé 2 fois par an, cet espace a pour but de dire stop au gaspillage. On ne jette pas, on donne ce qui ne nous sert plus, mais qui peut servir et faire plaisir à d'autres . Vêtements et toutes sortes d'objets en bon état pour qu’ils puissent avoir une seconde vie sont apportés et pris sans contre-partie financière. Le surplus est ensuite porté à la ressourcerie de Cazères. Rendez-vous du printemps, le 15 mai.

* Stand associatif du Parasol : Nathalie Bohin fait le constat que le miel tire son épingle du jeu mais que le stand en général est de peu de rapport. Il lui est arrivé de comptabiliser 10€ en fin de marché d’hiver…. Du militantisme. Néanmoins elle précise que le rapport avec la clientèle est riche d’échange.

* La Feuille de chou : le président remercie ceux qui s’en sont occupé 4 fois

par an, en particulier Marianne. Il est imprimé une moyenne de 150 journaux par numéro qui sont déposés à la Biscuiterie, au Poulpe du Lac, à l’épicerie, à l’OT et hors village, la Grignotte à Fabas, la Ressourcerie à Cazères… Les journaux sont envoyés par Internet à tous les adhérents. La Feuille de chou a été ouverte à d’autres associations, mais il n’y a eu que 2 réponses. Les commerçants

présents sur le marché seront sollicités pour y participer. Les articles sont à envoyer à Marianne qui va continuer pour l’instant de s’en occuper.

* Circulation des Pyrènes ( Bertrand Thuillier )

La monnaie locale, qui circule bien en Ariège, a un peu démarré à Ste Croix avec plus de la moitié des commerçants qui l’acceptent, mais cela semble stationnaire et même en baisse. Ce sont Diégo (pain) et Loïs (fromage de chèvre) qui sont comptoirs d’échange, l’épicerie va le devenir. Bertrand précise que le Marché, en proposant des produits locaux, est dans la dynamique de la

transition et que c’est dommage que la monnaie locale n’en fasse pas partie davantage, une façon de reconstruire après l’effondrement qui menace.

* Partenariats avec le Salon des Arts : EKIN (gravure sur métal) et Sandrine Salvetat (paniers) ont animé des ateliers. La prestation d’Ekin a été rémunérée pour 70€ ; Sandrine est venue à titre gracieux * Les panneaux annonçant le marché ont été mis en place par les employés municipaux sur les quatre accès à Ste Croix ce qui est très satisfaisant.

Bilan d’activité voté à l’unanimité

ORIENTATIONS

* Continuer dans la même optique, maintenir un Conseil d’administration

élargi, mobiliser les jeunes et être ouverts à d’autres initiatives.

* Prévu prochainement :

- Croc’livres les 3èmes mercredis et dédicaces

- Stand Passe-graine : 20 mars avec Croc’livres

- Espace non-marchand : 15 mai avec Croc’livres

- La « soupe au caillou » : une belle idée de Nathalie en hiver.

* Reprise l’été du repas partagé en fin du marché et renouveler des sorties à thème.

* Nouvelles idées

- A défaut d’un local communal plus spacieux que l’actuel ou d’une location éventuelle chez Mouret plusieurs fois évoquée. Trouver avec l’aide de la municipalité un lieu pour installer un cabanon pour abriter le stock du marché.

- Renouveler le matériel de Croc’livres en mauvais état.

Alain Bari : il faut s’assurer que l’évènement Marché soit dans le journal infos de l’OT et sur le magasine de la Communauté de commune : « Culture en Couserans » (J.François Brunel) et que ce sont les acteurs qui doivent s’en occuper.

BILAN FINANCIER présenté par Bertrand Thuillier, trésorier adjoint. Une copie est distribuée aux participants. Bilan très positif, témoin de la bonne santé de l’association. Le bilan financier présente un solde au 31/12/2018 de 5054,64.

Le compte de résultat présente un solde excédentaire de 1250,72, y compris les 500,00€ de la subvention de la Région qui a été virée en début d’année 2018 au titre de l’exercice précédent pour le Marché Ô. Les documents sont disponibles auprès de la trésorière, Lucette Rivière. Pierre Fauroux, délégué aux associations de Ste Croix, félicite l’association du Marché. Alain BARI rappelle qu’il faut, avant fin février, demander l’aide du fond départemental de la vie associative.

Bilan financier voté à l’unanimité

MONTANT DES ADHÉSIONS

Le maintien, inchangé depuis la création du marché, de 10€ pour les adhérents, commerçants, exposants et 5€ pour les ambulants et producteurs de passage est proposé par le CA.

Voté à l’unanimité

RENOUVELLEMENT DU CA

Conformément aux statuts, les 7 membres actuellement au CA se retirent.

* L es 2 créateurs du Marché ne se représentent pas Bon Marianne, Botteau Franck.

Nous les remercions pour tout leur investissement au Marché pendant ces années.

* Se représentent : Bohin Nathalie, Oulieu Marie-France, Rivière Lucette, Clivillé José, Thuillier Bertrand

* Se présentent : BURAU Xavier, LARTIGUE Maurice.

Merci à eux La composition du nouveau CA est votée à l’unanimité

Il se réunira prochainement pour élire le Bureau La parole étant donnée à l’Assemblée, Pierre Miqueu invite l’association du Marché à participer à la fête locale qui va être relancée le dernier dimanche

d’Août

L’ordre du jour étant épuisé, l’Assemblée Générale se termine par la

dégustation de la galette des rois et du jus de pomme.

 

Ce mercredi sur le marché, Nathalie est venue proposer une soupe au caillou. Le principe est simple chacun apporte un ingrédient et la cuisinière aménage une soupe qui a été dégustée avec appétit par tous les participants au marché

La soupe au caillou est une recette traditionnelle de la soupe paysanne qui s'adapte aux variétés locales de légumes, avec une base de pomme de terre, navet, carotte et poireau.

on y ajoute pourquoi pas une poignée de persil ou du laurier. Du lard fumé, des saucisses, peuvent aussi y être ajoutés. Un caillou propre est plongé dans la casserole pendant la cuisson, laquelle dure trois heures. Bon appétit !

Croc'Livres rend hommage à son créateur

Le 21 Novembre dernier s'est tenu comme tous les troisièmes mercredi de chaque mois LE CROC LIVRES  avec un grand absent à cette animation, Yves Massip, son créateur. Un hommage lui a été rendu. Etaient présentes les associations suivantes : La Gaule Cruxéenne Le Réveil de la vallée du Volp Recobrada, l’Atelier d’écriture, Le marché Ô. Le public lui a rendu un vibrant hommage avec de nombreux témoignages des textes et des chants ainsi qu'un panneau du souvenir ce moment de convivialité s'est conclu autour d’une grillade

Et comme à chaque Croc' livres il y avait une dédicace. Le marché a reçu la visite de Jean Pierre Noté. Dans sa jeunesse, Jean-Pierre Noté, alors étudiant en histoire, a eu l’occasion de participer à plusieurs campagnes de fouilles dans une grotte préhistorique. Il n’a finalement pas fait de la préhistoire ou de l’archéologie un métier mais sa passion demeure intacte. Celle-ci se conjugue avec celle qu’il entretient pour l’Ariège, sa région d’adoption. Né à Toulouse, Jean-Pierre Noté travaille dans l’industrie spatiale. Baroudeur professionnel arpentant le monde pour ses clients, il revient toujours dans les Pyrénées où il parcourt la montagne et pêche la truite le long des torrents. La nature encore intacte est omniprésente dans ses romans.

Il a publié

L’affaire Neandertal, un « cold case » autour d’une scène de crime de presque 40 000 ans découverte dans une caverne ariègeoise.

21 septembre, un polar historique commençant en 1905 et s’achevant le 21 septembre 2001 avec l’explosion de l’usine chimique AZF à Toulouse.

Il tient à remercier tous les organisateurs du marché pour cette superbe journée à Sainte-Croix. Pour lui , le 3ème mercredi de chaque mois sera désormais une occasion supplémentaire de s’arrêter au bord du Volp.

Castagne sur le marché !

 

C'est par une belle matinée d'automne que s'est déroulée le marché autour de la châtaigne. Cette année encore, l'association du marché organisatrice de cette manifestation mêlant convivialité et gourmandise, a pu mesurer l'engouement pour ce traditionnel rendez-vous qui anime agréablement le village chaque mercredi. C'est une initiative qui vient ponctuer la saison d'automne, préparée et mise en scène par le président de l'association José Clivillé. Les habitués du marché ont pu déguster cette castagnade en compagnie de Jean Samouillan le réalisateur du film "le temps des châtaignes" tourné dans la région. La prochaine animation sur le marché sera le 21 Novembre avec Croc'Livre et un hommage à Yves Massip qui nous a quittés dernièrement. Il y aura aussi une dédicace de Jean Pierre Noté au sujet de son livre sur l'histoire des grottes de la vallée du Volp à Montesquieu Avantès qu'il a romancé de façon policière.

 
Les crêpes d'André

Par une belle matinée ensoleillée, mais fraîche, la bonne humeur était présente. Pour ce marché, les organisateurs avaient mis les petit plats dans les grands. A savoir un coc'livres animé avec énormément d'échanges autour des tables pour déguster les crêpes d'André et le vin chaud servi par le président. 
Ce marché en fête se déroule chaque mercredi avant Noël. Il attire beaucoup de monde et d'artisans prêt pour des cadeaux de fins d'année. Cette matinée  n'a pas dérogé à la règle, l'espace central était comble et vivant les clients ont profité de cette belle journée pour faire des achats supplémentaires en vu des fêtes !

Sur le marché, poumon économique du village le mercredi, nous avons rencontré la pépinière d'Auguste.

Invités par le président du marché, Auguste et Marie Cerise ont présenté leur pépinière basée près de Rimont à Esplas de Sérou.

Ces deux jeunes paysans sont des "néo-tochtones". Auguste est arrivé avec ses parents à sa naissance et Marie Cerise vient de Paris. Auguste n'aime pas le terme exploitation agricole car : "nous allons plutôt dans le sens de la nature, on cultive des arbres de la façon la plus douce possible. C'est une petite pépinière avec des arbres fruitiers moyennement mécanisée sur terrasse en moyenne montagne. On utilise beaucoup de HDC (Huile De Coude)" !

Pour sa part Marie Cerise est tombée amoureuse du pépiniériste, l'a rejoint sur la ferme et elle est aussi tombée amoureuse du département de l'Ariège, comme elle aime à le dire ! Tous deux sont férus de pomologie et autres variétés de fruits que l'on trouve dans les Pyrénées. Tous les deux cultivent des petits scions et de jeunes arbres qu'ils vendent sur la ferme ou à l'occasion sur les marchés. Ces jeunes arbres sont greffés par leur soin avec diverses variétés pour la grande majorité anciennes. Renouvelant ainsi les variétés fruitières locales et résistantes. « On a a une petite ferme et notre objectif est la préservations des fruitiers qui ont fait, à certaines époques la richesse fruitière des ariégeois et en particuliers des rosacées, (pommes, poires, Figues...) qui font partie de cette famille et bien sûr la châtaigne fruit emblématique de l'Ariège. A leur niveau ils participent à la conservation des variétés qui seraient sans eux et d'autres, amenées à disparaître. L'Ariège a beaucoup de chance pour ça. Sur le marché du village ils ont eu de nombreuses commandes d'amoureux des fruits et de la nature.

Contact : Allez sur leur site : pepiniereauguste.com

Sur le marché du village

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